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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

24 mai 2008

Une caravane dans la jungle pour réclamer la libération des otages

RFI- Article publié le 24/05/2008
Un convoi humanitaire de 400 personnes a quitté vendredi la capitale Bogota pour se rendre dans la jungle dans le Guaviare (sud) et réclamer la libération des otages de la guérilla.
Après un bref passage dans la ville de Bogota, le convoi humanitaire a pris la route vers la province de Guaviare, le 23 mai 2008.(Photo : Reuters)
Avec notre correspondante à Bogota, Marie-Eve Detoeuf
C'est dans le Guaviare que 6 otages ont été libérés cette année, c'est dans le Guaviare qu'Ingrid Betancourt a été vue pour la dernière fois. Une trentaine d'otages politiques sont encore aux mains de la guérilla. La Caravane blanche qui a pris la route vendredi, veut rappeler qu'ils existent et forcer la guérilla et le gouvernement à négocier.
Les bus ont quitté la grande place de Bogota sous les applaudissements des badauds. A bord, des femmes d'otages, des mères d'otages, des sœurs d'otages, des défenseurs des droits de l'homme, des prêtres, un musicien, César Lopez, qui chante la paix sur son « escopetarra », un fusil transformé en guitare.
Des dizaines d'organisations sociales, l'Eglise, la mairie de Bogota, l'ONU et l'ambassade de France soutiennent l'initiative. La force publique s'est engagée à assurer la sécurité des manifestants de la Caravane blanche, mais le président de la République a récemment donné ordre à l'armée de redoubler ses efforts, pour localiser les otages et forcer une libération unilatérale, c'est dire si l'heure n'est pas à la négociation !

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