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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

12 mai 2008

Quito dit ne plus être en contact avec les Farc depuis un mois

PARIS (Reuters) - Les contacts avec la guérilla des Farc, qui détiennent des centaines d'otages en Colombie dont Ingrid Betancourt, sont rompus depuis la mort, le 1er mars, de Raul Reyes, n° 2 du mouvement colombien, déclare au Monde le président équatorien Rafael Correa.

"Nous étions sur le point d'obtenir (la libération d'Ingrid Betancourt) quand le camp de Raul Reyes a été bombardé. Je ne sais pas s'il allait tenir parole, mais il avait annoncé la libération de deux otages en mars, dont Mme Betancourt. La France le savait", dit-il dans un entretien publié dans l'édition de mardi du quotidien français.
Rafael Correa est attendu mardi à Paris où il doit notamment rencontrer le président français Nicolas Sarkozy, qui a juré d'obtenir la libération de l'otage franco-colombienne détenue dans la jungle colombienne depuis 2002.
"La France sait que nous sommes prêts à poursuivre nos efforts en faveur de la libération des otages. Malheureusement, depuis la mort de Raul Reyes, tous les contacts avec la direction des Farc ont été perdus", ajoute-t-il.
L'attaque avait été menée en territoire équatorien par l'armée colombienne. Nicolas Sarkozy s'est depuis adressé solennellement au chef des Farc dans une allocution télévisée et a envoyé une mission sur place en avril, en vain.
Rafael Correa évoque comme moyen de mettre fin à la crise une forme de reconnaissance des Forces armées révolutionnaires de Colombie, actuellement classées comme organisation terroriste par les Etats-Unis et l'Union européenne. La France, qui assumera le 1er juillet la présidence de l'UE, serait d'accord à certaines conditions.
"Si les Farc, qui ont une armée organisée et contrôlent une partie du territoire, cessent leurs actions terroristes, s'ils cessent les prises d'otages, s'ils respectent le droit humanitaire, nous pourrons les reconnaître comme interlocuteur pour négocier la paix. La France a exactement la même position que l'Equateur", affirme-t-il.
Le chef de l'Etat équatorien dément par ailleurs les affirmations de la presse espagnole selon laquelle des documents censés provenir de l'ordinateur de Reyes montreraient qu'il a reçu de l'argent des Farc pour sa campagne électorale en 2006.
"Je me moque de ces documents et de ce qu'en pensent les Etats-Unis, Interpol et la Colombie", dit-il.

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