Le président équatorien, Rafael Correa, a entamé dimanche sa tournée européenne de quatre jours qui le conduira en Espagne, en Belgique et en France, les otages des guérilleros et la crise diplomatique équatorio-colombienne se situant en tête de liste de son agenda.
Accompagné par des ministres de son cabinet, dont la ministre des Relations extérieures, Maria Isabel Salvador, ainsi que d'autres importants responsables, M. Correa s'entretiendra avec le Premier ministre espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, le président français, Nicolas Sarkozy, et le chef de la diplomatie de l'Union européenne, Javier Solana.
La tournée de M. Correa vise à lutter contre la présumée campagne de médias lancée par la Colombie contre ce pays latino- américain. La Colombie a accusé M. Correa d'avoir des liens avec les guérilleros des Forces armées révolutionnaires de la Colombie (FARC).
L'Equateur a rompu ses relations diplomatiques avec la Colombie le 3 mars, deux jours après que cette dernière eut violé la souveraineté équatorienne et tué le dirigeant des FARC, Raul Reyes, lors d'une incursion militaire transfrontalière.
Lors de sa visite en France, M. Correa a prévu de rencontrer la famille de la citoyenne franco-colombienne Ingrid Betancourt, retenue captive par les FARC depuis 2002. Il y a une semaine, M. Correa avait indiqué qu'il fournirait son aide au président français pour favoriser la libération de Mme Betancourt.
Accompagné par des ministres de son cabinet, dont la ministre des Relations extérieures, Maria Isabel Salvador, ainsi que d'autres importants responsables, M. Correa s'entretiendra avec le Premier ministre espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, le président français, Nicolas Sarkozy, et le chef de la diplomatie de l'Union européenne, Javier Solana.
La tournée de M. Correa vise à lutter contre la présumée campagne de médias lancée par la Colombie contre ce pays latino- américain. La Colombie a accusé M. Correa d'avoir des liens avec les guérilleros des Forces armées révolutionnaires de la Colombie (FARC).
L'Equateur a rompu ses relations diplomatiques avec la Colombie le 3 mars, deux jours après que cette dernière eut violé la souveraineté équatorienne et tué le dirigeant des FARC, Raul Reyes, lors d'une incursion militaire transfrontalière.
Lors de sa visite en France, M. Correa a prévu de rencontrer la famille de la citoyenne franco-colombienne Ingrid Betancourt, retenue captive par les FARC depuis 2002. Il y a une semaine, M. Correa avait indiqué qu'il fournirait son aide au président français pour favoriser la libération de Mme Betancourt.
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