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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

1 mai 2008

B.Kouchner rencontre Chavez à Caracas, pas d'annonce d'engagement

CARACAS (AFP)

Après la Colombie et l'Equateur, le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner a achevé mercredi sa tournée sud-américaine au Venezuela, où il s'est efforcé, apparemment en vain, de convaincre le président Hugo Chavez de relancer sa médiation en faveur des otages des Farc.

"Avec le président Chavez nous avons parlé du sort des otages, d'Ingrid Betancourt, mais aussi du sort de tous les otages, en particulier civils", a brièvement déclaré M. Kouchner à l'issue de cet entretien à Caracas.
"J'espère et je veux croire que ces trois jours ont été et seront utiles pour la résolution de cette triste et douloureuse affaire", a-t-il ensuite ajouté, en guise de bilan après une tournée particulièrement délicate en raison des tensions entre ces trois pays.
"Le ministre français a reconnu les efforts du président Hugo Chavez dans la libération de plusieurs otages des Farc et lui a demandé de reprendre son travail de médiateur", a indiqué de son côté un porte-parole du gouvernement vénézuélien, sans donner davantage de précision.
Paris reste convaincu que M. Chavez est la seule option disponible pour résoudre la crise des otages et obtenir enfin leur libération, à commencer par celle d'Ingrid Betancourt, l'ex-candidate à la présidence colombienne qui détient aussi la nationalité française.
"Nous n'avons jamais caché, et certainement pas au président colombien Alvaro Uribe, que le président Hugo Chavez a joué un rôle important (ndlr: en obtenant la libération de six otages depuis le début de l'année) et s'il peut encore jouer un rôle important, tous, nous nous en féliciterions", avait déclaré le ministre français à la presse mardi soir à l'aéroport de Bogota où il faisait une courte escale avant de se rendre à Caracas.
Cette conviction a encore été renforcée après les déclarations d'Ivan Marquez, un des chefs des Farc, publiées dimanche par un journal argentin et dans lesquelles il assure que le dirigeant vénézuélien est le "seul espoir" pour faire libérer Ingrid Betancourt.
Mais la France s'oppose jusqu'à présent au refus catégorique de la Colombie de voir son voisin jouer à nouveau un rôle auprès de la guérilla des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) auprès de laquelle M. Chavez avait obtenu la libération de ces six otages sans contrepartie.
Le président colombien Alvaro Uribe, qui a reçu M. Kouchner à Bogota, a d'ailleurs réaffirmé mardi soir qu'il n'était pas question de relancer la médiation du président vénézuélien dans l'affaire des otages. M. Uribe avait brusquement mis fin à une mission de son homologue vénézuélien en novembre, l'accusant "d'ingérence" dans les affaires colombiennes.
M. Chavez avait de plus souligné, avant même l'arrivée de M. Kouchner, que ses contacts avec les Farc avaient été "pulvérisés" après le raid colombien en Equateur le 1er mars dans lequel le numéro deux de la guérilla colombienne, Raul Reyes, avait été tué.
Ce raid avait provoqué une grave crise diplomatique entre d'un côté la Colombie soutenue par les Etats-Unis, de l'autre l'Equateur et le Venezuela. A la suite de la mort de Reyes, les Farc ont interrompu tout contact avec l'extérieur.
Ivan Marquez a par ailleurs confirmé dans cet entretien publié dimanche qu'il n'y avait "aucun contact" avec le gouvernement français, après l'envoi infructueux début avril d'un avion médicalisé et d'émissaires pour secourir Ingrid Betancourt.
La France a néanmoins fait savoir qu'elle continuerait à rechercher d'autres contacts avec les Farc, comme l'a confirmé M. Kouchner à l'issue d'une rencontre à Quito avec le président socialiste équatorien Rafael Correa.
La guérilla réclame la libération de 500 rebelles emprisonnés en échange de celle de 39 otages dits "politiques", dont trois Américains et Ingrid Betancourt capturée en février 2002

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