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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

30 avril 2008

fin de mission pour Bernard Kouchner

Le chef de la diplomatie française a achevé mercredi sa mission sud-américaine sur les otages des Farc par le Venezuela
Bernard Kouchner devait rencontrer le président vénézuélien Hugo Chavez, qui a servi de médiateur avec la guérilla colombienne jusqu'à son éviction des pourparlers en novembre par le président colombien Alvaro Uribe.Cette étape dans la capitale vénézuélienne était la dernière de la tournée sud-américaine du ministre français, après Bogota et Quito.
Lundi à Bogota, Bernard Kouchner a rencontré le président colombien, à qui il a remis une lettre. Mais Alvaro Uribe a prévenu qu'aucune surprise n'était à attendre, lui réaffirmant qu'il n'était pas question de relancer la médiation du président vénézuélien dans l'affaire des otages.La guérilla colombienne des Farc exige la libération de 500 des siens en l'échange de 39 otages dits "politiques", dont la franco-colombienne Ingrid Betancourt.La présidence colombienne a fait savoir qu'un retour à une médiation d'Hugo Chavez était exclu. Alvaro Uribe avait mis fin en novembre 2007 à une médiation du président vénézuélien, l'accusant "d'ingérence" dans les affaires colombiennes.Bernard Kouchner avait entamé lundi une mission visant à relancer le dialogue pour la libération d'Ingrid Betancourt. Il voulait tenter de relancer le dialogue entre la Colombie et ses voisins du Venezuela et d'Equateur afin d'obtenir la libération de l'otage franco-colombienne retenu par les Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie). Le dialogue est rompu entre les Farc et le gouvernement colombien depuis que le numéro deux de la guérilla, Raul Reyes, a été tué dans un raid de l'armée colombienne en Equateur, le 1er mars. Ce raid a provoqué une grave crise diplomatique entre la Colombie, soutenue par les Etats-Unis, d'un côté, l'Equateur et le Venezuela de l'autre."Ce voyage de trois jours de Bernard Kouchner n'a qu'un seul objectif : alléger les tensions entre Bogota, Quito et Caracas pour créer une ambiance favorable pouvant bénéficier aux otages", a commenté le quotidien de référence colombien El Tiempo. "Tout semble indiquer que Kouchner insistera auprès du président du Venezuela pour qu'il reprenne sa médiation avec les Farc", a ajouté El Tiempo. Dans un éditorial, samedi, ce journal a toutefois accusé de "légèreté" le président français Nicolas Sarkozy dans le dossier Betancourt, en le qualifiant de "débutant". "La Colombie a souffert des caprices" du président français, a estimé El Tiempo. "Sarkozy a d'abord demandé à Alvaro Uribe de libérer un dirigeant des Farc (ndlr: Rodrigo Granda, début juin 2007). Puis il a envoyé (début avril) un avion ambulance pour secourir Ingrid Betancourt sans avoir pris contact avec les preneurs d'otages", a rappelé le quotidien.Chavez, pièce maîtresse"Il faut remettre dans le jeu Hugo Chavez. Le dossier était bloqué depuis des années. Les seules avancées (ndlr: preuves de vie des otages et libérations de six otages), c'est à Chavez qu'on les doit. C'est le moment de lui dire à quel point il est nécessaire et on compte sur lui", affirmaient ces derniers jours des sources diplomatiques françaises. "Si Kouchner arrive à convaincre Uribe et Chavez, la France aura alors de fortes chances pour qu'Ingrid et les autres otages soient libérés", a indiqué à l'AFP l'ancien député de gauche Leon Valencia, directeur d'une Fondation d'étude des crises, Nouvel arc-en-ciel.Dans son plus récent communiqué, l'agence Anncol, proche de la guérilla, estime que l'actuelle priorité pour les Farc "est de se débarrasser de la mafia paramilitaire de la présidence (....) car rien ne fonctionne avec le régime actuel". "Prétendre parvenir à des accords humanitaires, aussi petits soient-ils, est illusoire", écrit l'agence de presse, affirmant que la France est témoin de "l'absence de volonté humanitaire" du gouvernement d'Alvaro Uribe. Anncol rend hommage au "rôle incontestable" du président Chavez, "un homme de parole et de confiance", en faveur d'un accord humanitaire.Chavez n'a plus de contact avec les FarcHugo Chavez a déclaré dimanche que son gouvernement avait perdu tout contact avec la guérilla des Farc et estimé que la négociation d'un accord pour un échange de prisonniers "est devenue très complexe". "Nous avons perdu le contact avec les Farc. Nous avions mis au point un système de contacts qui a été pulvérisé", a-t-il affirmé au cours de son émission hebdomadaire radio-télévisée "Alo Presidente". Mais le président vénézuélien a ajouté qu'il attendait que se présentent de "meilleures opportunités pour aider à l'accord humanitaire".

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