"C’est une claque" affirme le comité de soutien à Ingrid Betancourt. La guérilla rejette la mission humanitaire envoyée par la France pour secourir l’otage franco-colombienne : "Nous n’agissons pas sous l’influence du chantage, ni sous l’impulsion de campagnes médiatiques".
C’est une fin de non-recevoir. Près d’une semaine après l’envoi d’un avion médicalisé français vers la Colombie, Paris reçoit une réponse des Farc : le secrétariat de l’état-major central de la guerilla estime que cette mission humanitaire n’est "pas recevable".
Dans un communiqué datant du 4 avril dernier mais qui vient d’être diffusé par l’Agence bolivarienne de presse, les Farc affirment que cette mission "n’est pas le résultat d’une concertation, mais de la mauvaise foi du (président colombien Alvaro) Uribe envers le gouvernement de l’Elysée, et une plaisanterie sans âme envers l’attente des familles de prisonniers".
"Nous n’agissons pas sous l’influence du chantage, ni sous l’impulsion de campagnes médiatiques", ajoute le communiqué.
C’est une fin de non-recevoir. Près d’une semaine après l’envoi d’un avion médicalisé français vers la Colombie, Paris reçoit une réponse des Farc : le secrétariat de l’état-major central de la guerilla estime que cette mission humanitaire n’est "pas recevable".
Dans un communiqué datant du 4 avril dernier mais qui vient d’être diffusé par l’Agence bolivarienne de presse, les Farc affirment que cette mission "n’est pas le résultat d’une concertation, mais de la mauvaise foi du (président colombien Alvaro) Uribe envers le gouvernement de l’Elysée, et une plaisanterie sans âme envers l’attente des familles de prisonniers".
"Nous n’agissons pas sous l’influence du chantage, ni sous l’impulsion de campagnes médiatiques", ajoute le communiqué.
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