L'avion français de la mission humanitaire en vue d'obtenir la libération de la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, est arrivé en Colombie jeudi.
La mission a été mise sur pied au lendemain de l'appel du premier ministre français, Nicolas Sarkozy, pour que la guérilla marxiste, les Forces armées révolutionnaires colombiennes (FARC), libère Ingrid Betancourt, détenue depuis plus de six ans.
La guérilla est toutefois demeurée muette.
Selon la famille de Mme Betancourt, l'otage franco-colombienne souffre d'une hépatite B et son état de santé est alarmant. Son fils, Lorenzo Delloye a ajouté qu'elle faisait la grève de la faim depuis cinq semaines.
Le président colombien, Alvaro Uribe, interrogé par France 3, mercredi, a toutefois déclaré qu'il n'avait aucune confirmationd'une détérioration de l'état de santé de Mme Betancourt. Il a répété qu'il était prêt à collaborer concrètement avec les Français pour libérer l'otage.
Mais les négociations pour obtenir la libération des 39 otages politiques des FARC en échange de 500 guérilleros détenus par Bogota, ont été sérieusement minées par la mort du numéro deux de la guérilla, Paul Reyes, tué le mois dernier dans un raid de l'armée colombienne.
L'Espagne et la Suisse sont aussi associées à la mission humanitaire. Les trois pays auraient décidé de ne pas donner davantage d'information sur la mission.
De son côté, la Fédération internationale des droits de l'Homme et la Fédération internationale des comités Ingrid Betancourt ont demandé à M. Uribe, mardi, de cesser les opérations militaires qui pourraient mettre en péril les otages. Ce qu'il a accepté, mercredi.
La mission a été mise sur pied au lendemain de l'appel du premier ministre français, Nicolas Sarkozy, pour que la guérilla marxiste, les Forces armées révolutionnaires colombiennes (FARC), libère Ingrid Betancourt, détenue depuis plus de six ans.
La guérilla est toutefois demeurée muette.
Selon la famille de Mme Betancourt, l'otage franco-colombienne souffre d'une hépatite B et son état de santé est alarmant. Son fils, Lorenzo Delloye a ajouté qu'elle faisait la grève de la faim depuis cinq semaines.
Le président colombien, Alvaro Uribe, interrogé par France 3, mercredi, a toutefois déclaré qu'il n'avait aucune confirmationd'une détérioration de l'état de santé de Mme Betancourt. Il a répété qu'il était prêt à collaborer concrètement avec les Français pour libérer l'otage.
Mais les négociations pour obtenir la libération des 39 otages politiques des FARC en échange de 500 guérilleros détenus par Bogota, ont été sérieusement minées par la mort du numéro deux de la guérilla, Paul Reyes, tué le mois dernier dans un raid de l'armée colombienne.
L'Espagne et la Suisse sont aussi associées à la mission humanitaire. Les trois pays auraient décidé de ne pas donner davantage d'information sur la mission.
De son côté, la Fédération internationale des droits de l'Homme et la Fédération internationale des comités Ingrid Betancourt ont demandé à M. Uribe, mardi, de cesser les opérations militaires qui pourraient mettre en péril les otages. Ce qu'il a accepté, mercredi.
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