Le président vénézuélien Hugo Chavez a appelé samedi la guérilla colombienne des FARC à libérer tous ses otages civils, notamment l'ex-candidate à l'élection présidentielle Ingrid Betancourt.
Au cours d'un rassemblement à Caracas, auquel participait la mère de l'otage franco-colombienne, Yolanda Pulecio, M. Chavez s'est adressé à la direction des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC), qualifiant d'"insensée" la détention de personnes sans lien avec la guerre que mène la guérilla marxiste contre le gouvernement colombien.
"Si j'étais un guérilléro, je n'éprouverais pas le besoin de retenir une femme, un homme qui ne sont pas des soldats", a souligné le président vénézuélien dans son discours télévisé. "D'abord, libérez les civils qui n'ont rien à voir avec la guerre. Je ne suis pas d'accord avec ça."
Hugo Chavez, qui a contribué cette année à la libération de six otages détenus par les rebelles, a ajouté qu'il pouvait comprendre que les FARC fassent de soldats ou des policiers des prisonniers de guerre.
"Mais ce n'est pas le cas d'Ingrid Betancourt et du reste des civils enlevés", a-t-il martelé.
Ingrid Betancourt figure parmi la quarantaine d'otages "politiques" des FARC, au même titre que trois Américains, employés d'une entreprise travaillant pour le Pentagone. Selon le gouvernement colombien, la guérilla détient au total plus de 700 personnes.
Le président Chavez a par ailleurs affirmé ne plus avoir de contact avec les FARC depuis l'incursion de l'armée colombienne en Equateur le mois dernier, opération au cours de laquelle a été tué le No2 de la guérilla, Raul Reyes.
Au cours d'un rassemblement à Caracas, auquel participait la mère de l'otage franco-colombienne, Yolanda Pulecio, M. Chavez s'est adressé à la direction des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC), qualifiant d'"insensée" la détention de personnes sans lien avec la guerre que mène la guérilla marxiste contre le gouvernement colombien.
"Si j'étais un guérilléro, je n'éprouverais pas le besoin de retenir une femme, un homme qui ne sont pas des soldats", a souligné le président vénézuélien dans son discours télévisé. "D'abord, libérez les civils qui n'ont rien à voir avec la guerre. Je ne suis pas d'accord avec ça."
Hugo Chavez, qui a contribué cette année à la libération de six otages détenus par les rebelles, a ajouté qu'il pouvait comprendre que les FARC fassent de soldats ou des policiers des prisonniers de guerre.
"Mais ce n'est pas le cas d'Ingrid Betancourt et du reste des civils enlevés", a-t-il martelé.
Ingrid Betancourt figure parmi la quarantaine d'otages "politiques" des FARC, au même titre que trois Américains, employés d'une entreprise travaillant pour le Pentagone. Selon le gouvernement colombien, la guérilla détient au total plus de 700 personnes.
Le président Chavez a par ailleurs affirmé ne plus avoir de contact avec les FARC depuis l'incursion de l'armée colombienne en Equateur le mois dernier, opération au cours de laquelle a été tué le No2 de la guérilla, Raul Reyes.
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