http://www.agirpouringrid.com/

Nouveau blog
http://agiravecingrid-aquitaine.blogspot.com/

Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

5 avril 2008

Todos somos Ingrid

BOGOTA (AFP) - Les Colombiens manifestent vendredi pour la libération des otages des guérillas et paramilitaires, au lendemain de l'arrivée de la mission humanitaire menée par la France pour tenter d'accéder à la franco-colombienne Ingrid Betancourt dont l'état de santé est critique.

Les Colombiens manifestent dans les rues des grandes villes du pays pour exiger la libération de tous les otages que compte le pays, quelque 2.800 personnes selon les estimations officielles.
"Avec des foulards blancs, des pancartes, nous ferons savoir à tous les otages qu'ils ne sont pas seuls, que nous sommes à leurs côtés et que nous attendons leur libération", a déclaré à l'AFP Ana Teresa Bernal, porte-parole de Redepaz, l'une des ONG organisatrices de ces marches.
La responsable de Redepaz a exprimé un certain optimisme à propos d'Ingrid Betancourt aux mains des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc - marxiste) depuis février 2002, et dont l'état de santé serait alarmant, selon de récents témoignages.
"Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir", a-t-elle dit, "Ingrid peut être dans un état très grave mais nous pouvons encore la sauver. Si elle mourait, nous ne pourrions plus rien faire".
Jeudi soir, la proposition du président du Venezuela Hugo Chavez d'aller avec son homologue français Nicolas Sarkozy, chercher en Colombie Ingrid Betancourt, a fait renaître l'espoir au sein de la mission humanitaire dépêchée par la France.
"Je serais disposé à aller, avec Sarkozy, chercher Ingrid", a indiqué Hugo Chavez dans un message télévisé, dévoilant le contenu d'un entretien téléphonique qu'il a eu avec le président français.
M. Chavez, qui entretient des contacts avec la guérilla, est le seul à avoir obtenu des Farc la libération d'otages colombiens.


La soeur de l'otage, Astrid Betancourt, avait appelé jeudi à "ne pas délaisser" le canal de négociation que représente Hugo Chavez, soulignant qu'il est un contact direct avec le chef rebelle Ivan Marquez.
Paris attend toujours une réponse des Farc pour permettre à la mission humanitaire dépêchée jeudi en Colombie d'accéder à Ingrid Betancourt, a déclaré vendredi le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner.
"Les Farc doivent répondre, nous attendons, nous sommes sur place", a-t-il indiqué depuis Bucarest où il participait au sommet de l'Otan. "Pour le moment, nous sommes en train d'essayer, essayer, essayer, et il n'y a pas d'autre solution", a-t-il ajouté.
Un haut dirigeant des Farc, Rodrigo Granda, a affirmé qu'il n'y aurait pas de libération d'otages sans échange avec des guérilleros emprisonnés, dans un communiqué diffusé jeudi sur internet par l'Agence bolivarienne de presse (ABP).

A Paris, un responsable du ministère des Affaires étrangères a toutefois assuré vendredi qu'il ne voyait "pas de lien" avec l'envoi de la mission française.
"Le texte de Rodrigo Granda a été publié sur des sites d'agences proches de Farc le 19 mars dernier, bien avant que l'opération humanitaire ne soit même envisagée", a déclaré cette source sous couvert de l'anonymat.
Un avion français Falcon 50 est prêt depuis jeudi à décoller pour se rendre à San Jose del Guaviare (sud-est), dans la région où se trouverait Ingrid Betancourt, selon des médias colombiens vendredi.
A Paris, le fils d'Ingrid Betancourt, Lorenzo Delloye, a souhaité vendredi "courage" à sa mère et demandé aux Farc de "faire un geste".
Il a estimé que la mission humanitaire envoyée par la France était "la mission de la dernière chance".
En outre, Quito "a renouvelé son engagement de coopération humanitaire, si cela lui était demandé", a indiqué le ministère des Affaires étrangères de l'Equateur.
Ingrid Betancourt fait partie des 39 otages dits "politiques" que les Farc, en lutte contre les autorités colombienne depuis 1964, proposent d'échanger contre 500 guérilleros emprisonnés en Colombie.

Aucun commentaire: