Nous savions qu’Ingrid Betancourt était malade. Nous savions qu’elle était maltraitée. Nous savions qu’elle était à bout.
Nous venons d’apprendre qu’elle ne se soigne, ni ne mange plus.
Une femme est en train de mourir dans la jungle colombienne, aux yeux de tous.
Les FARC, qui la détiennent depuis six ans, ne parlent plus de sa libération, depuis l’exécution d’un de leur chef. De son côté, le gouvernement colombien, intraitable depuis toujours dans les négociations, se dit prêt maintenant à céder sur presque tout.
Tout se passe comme s’il était trop tard, comme si l’enjeu était désormais de ne pas apparaître comme le coupable d’un dénouement forcément tragique.
Il faut arrêter ce compte à rebours, il est temps encore. La mobilisation n’a jamais été aussi nécessaire. Elle est vitale pour que tous les gouvernements et toutes les parties concernées empêchent ce qui apparaitra aux yeux du monde comme un assassinat.
Ingrid, ouvre les yeux et regarde : nous sommes tous là avec toi.
Nous venons d’apprendre qu’elle ne se soigne, ni ne mange plus.
Une femme est en train de mourir dans la jungle colombienne, aux yeux de tous.
Les FARC, qui la détiennent depuis six ans, ne parlent plus de sa libération, depuis l’exécution d’un de leur chef. De son côté, le gouvernement colombien, intraitable depuis toujours dans les négociations, se dit prêt maintenant à céder sur presque tout.
Tout se passe comme s’il était trop tard, comme si l’enjeu était désormais de ne pas apparaître comme le coupable d’un dénouement forcément tragique.
Il faut arrêter ce compte à rebours, il est temps encore. La mobilisation n’a jamais été aussi nécessaire. Elle est vitale pour que tous les gouvernements et toutes les parties concernées empêchent ce qui apparaitra aux yeux du monde comme un assassinat.
Ingrid, ouvre les yeux et regarde : nous sommes tous là avec toi.
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