Les conditions de la libération d'Ingrid Betancourt, otage de la guérilla colombienne depuis 2002, sont progressivement remplies, a déclaré dimanche François Fillon, qui souligne que la France est prête à faire tout ce qui est nécessaire pour la faciliter.
"La France redouble d'efforts pour essayer d'obtenir la libération d'Ingrid Betancourt, notamment parce que sa situation de santé est de plus en plus difficile", a dit le Premier ministre dans le cadre du journal de 20 heures de TF1.
"On a des moyens techniques en permanence pour permettre de répondre à toutes les situations", a-t-il dit à propos de l'appareil de la République française, un Falcon 900, qui s'était positionné en Guyane avant de regagner la métropole dimanche.
"Le président (colombien Alvaro) Uribe a fait une offre très importante aux Farc puisqu'il a proposé de libérer un grand nombre de prisonniers politiques en échange de la libération d'Ingrid Betancourt. On sent que progressivement toutes les conditions sont remplies pour cette libération. Pour autant, nous n'en savons pas plus ce soir", a-t-il poursuivi.
"La France est prête à faire tout ce qui sera nécessaire pour permettre la libération d'Ingrid Betancourt, et l'accueil des militants des Farc (qui se seront démobilisés, NDLR) fait partie de cet effort", a réaffirmé François Fillon.
"La France redouble d'efforts pour essayer d'obtenir la libération d'Ingrid Betancourt, notamment parce que sa situation de santé est de plus en plus difficile", a dit le Premier ministre dans le cadre du journal de 20 heures de TF1.
"On a des moyens techniques en permanence pour permettre de répondre à toutes les situations", a-t-il dit à propos de l'appareil de la République française, un Falcon 900, qui s'était positionné en Guyane avant de regagner la métropole dimanche.
"Le président (colombien Alvaro) Uribe a fait une offre très importante aux Farc puisqu'il a proposé de libérer un grand nombre de prisonniers politiques en échange de la libération d'Ingrid Betancourt. On sent que progressivement toutes les conditions sont remplies pour cette libération. Pour autant, nous n'en savons pas plus ce soir", a-t-il poursuivi.
"La France est prête à faire tout ce qui sera nécessaire pour permettre la libération d'Ingrid Betancourt, et l'accueil des militants des Farc (qui se seront démobilisés, NDLR) fait partie de cet effort", a réaffirmé François Fillon.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire