PARIS -AFP / 30 mars 2008 20h51
La France est prête à accueillir des "membres des Farc" pour aider à obtenir la libération de la Franco-colombienne Ingrid Betancourt, retenue en otage depuis six ans par la guérilla colombienne, a affirmé dimanche le Premier ministre français François Fillon.
"La France est prête à faire tout ce qui sera nécessaire pour permettre la libération d'Ingrid Betancourt, et l'accueil des militants des Farc fait partie de cet effort", a déclaré M. Fillon à la chaîne française de télévison TF1, en insistant sur l'état de santé "de plus en plus difficile" de Mme Betancourt.
Commentant la présence d'un avion médicalisé français pendant le week-end en Guyane, département français sur le continent sud-américain, M. Fillon a souligné que la France disposait de "moyens techniques en permanence pour permettre de répondre à toutes les situations".
"La France redouble d'efforts pour essayer d'obtenir la libération d'Ingrid Betancourt. On sent que progressivement toutes les conditions sont remplies pour cette libération. Pour autant, nous n'en savons pas plus ce soir", a ajouté M. Fillon.
Il a souligné que le président colombien Alvaro Uribe avait "fait une offre très importante aux Farc puisqu'il a proposé de libérer un grand nombre de prisonniers politiques (ndlr: des guérilleros des Farc emprisonnés) en échange de la libération d'Ingrid Betancourt".
François Fillon avait affirmé dès le 19 décembre 2007 que la France était prête à accueillir des guérilleros des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), qui seraient libérés en échange des otages de cette guérilla
"La France est prête à faire tout ce qui sera nécessaire pour permettre la libération d'Ingrid Betancourt, et l'accueil des militants des Farc fait partie de cet effort", a déclaré M. Fillon à la chaîne française de télévison TF1, en insistant sur l'état de santé "de plus en plus difficile" de Mme Betancourt.
Commentant la présence d'un avion médicalisé français pendant le week-end en Guyane, département français sur le continent sud-américain, M. Fillon a souligné que la France disposait de "moyens techniques en permanence pour permettre de répondre à toutes les situations".
"La France redouble d'efforts pour essayer d'obtenir la libération d'Ingrid Betancourt. On sent que progressivement toutes les conditions sont remplies pour cette libération. Pour autant, nous n'en savons pas plus ce soir", a ajouté M. Fillon.
Il a souligné que le président colombien Alvaro Uribe avait "fait une offre très importante aux Farc puisqu'il a proposé de libérer un grand nombre de prisonniers politiques (ndlr: des guérilleros des Farc emprisonnés) en échange de la libération d'Ingrid Betancourt".
François Fillon avait affirmé dès le 19 décembre 2007 que la France était prête à accueillir des guérilleros des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), qui seraient libérés en échange des otages de cette guérilla
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