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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

17 février 2008

La mère d'Ingrid Betancourt lui écrit qu'il n'y a pas de volonté de négocier

Yolanda Pulecio, la mère de la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, retenue en otage par les Farc depuis près de six ans, a écrit dans une lettre à sa fille que la guérilla et le gouvernement colombien n'avaient pas la volonté de négocier un échange.
«Je ne vois aucune volonté politique de trouver un accord humanitaire. S'ils avaient voulu le faire, vu le nombre de fois où cela a échoué, ils auraient déjà libéré tous les otages», écrit Yolanda Pulecio dans une lettre publiée samedi par l'hebdomadaire colombien El Espectador.«C'est sans intérêt. Tout ce qu'ils disent n'est que mensonge et je ne veux pas me laisser berner», a ajouté la mère de l'ex-candidate à la présidence colombienne, qui est retenue en otage par les Forces armées révolutionnaires de la Colombie (Farc) depuis le 23 février 2002.Les rebelles ont proposé d'échanger Ingrid Betancourt et 42 autres otages contre 500 des leurs emprisonnés et ils exigent pour cela la démilitarisation de deux municipalités du sud du pays. Le président Alvaro Uribe s'est dit disposé à négocier l'échange mais il refuse la démilitarisation.Mme Pulecio a écrit sa lettre en réponse à celle de sa fille, longue de 15 pages, datée du 24 octobre dernier et rendue publique en novembre, qu'elle lui avait envoyé depuis son lieu de détention dans la jungle colombienne.«Fille de mon âme: ta lettre a atteint mon âme. C'est le plus divin. Dieu merci, je n'ai jamais douté que tu étais en vie», écrit Mme Pulecio, qui s'inquiète de la santé de sa fille, apparue très amaigrie et déprimée dans une vidéo diffusée au même moment que sa lettre.Mme Pulecio écrit aussi à sa fille que le gouvernement français a été «totalement solidaire» et que le président vénézuélien, Hugo Chavez, est «sincèrement motivé» pour obtenir la libération des otages.

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