La mère d'Ingrid Betancourt, Yolanda Pulecio, en visite en Italie où elle doit rencontrer le pape, a appelé mardi à un changement de gouvernement en Colombie, critiquant vivement le président Alvaro Uribe pour son refus de négocier avec la guérilla des FARC en vue de la libération des otages.
Mme Pulecio a expliqué qu'elle demanderait à Benoît XVI, qu'elle rencontre mercredi, de prier pour un miracle: "Dieu veuille que le gouvernement change, c'est le miracle que je vais lui demander. Je lui demanderai aussi un autre miracle de la part de la guérilla. Je pense que le pape va m'aider à demander à Dieu qu'il change cette situation", a-t-elle déclaré.
Au cours d'une conférence de presse conjointe avec le maire de Rome Walter Veltroni, elle a expliqué avoir reçu plus de soutien de la part des pays européens et latino-américains que du gouvernement d'Alvaro Uribe: "je suis venue en Italie pour qu'on continue à lui réclamer de changer d'attitude, pour qu'on ne continue pas d'opération militaires pour libérer les otages, ce qui met leur vie en danger", a-t-elle déclaré. "La solution, pas seulement pour les otages, mais pour la paix, doit se rechercher au travers du dialogue".
Yolanda Pulecio a en revanche salué le rôle du président vénézuélien Hugo Chavez, dont la médiation a déjà permis la libération de plusieurs otages, dont Clara Rojas, la directrice de campagne de sa fille Ingrid. "Son appui a été très important pour nous, il nous a aidés avec sincérité, une grande compréhension de la situation et une grande solidarité", a ajouté Mme Pulecio, les larmes aux yeux en évoquant sa souffrance à la réception des dernières preuves de vie d'Ingrid Betancourt.
Mme Pulecio a expliqué qu'elle demanderait à Benoît XVI, qu'elle rencontre mercredi, de prier pour un miracle: "Dieu veuille que le gouvernement change, c'est le miracle que je vais lui demander. Je lui demanderai aussi un autre miracle de la part de la guérilla. Je pense que le pape va m'aider à demander à Dieu qu'il change cette situation", a-t-elle déclaré.
Au cours d'une conférence de presse conjointe avec le maire de Rome Walter Veltroni, elle a expliqué avoir reçu plus de soutien de la part des pays européens et latino-américains que du gouvernement d'Alvaro Uribe: "je suis venue en Italie pour qu'on continue à lui réclamer de changer d'attitude, pour qu'on ne continue pas d'opération militaires pour libérer les otages, ce qui met leur vie en danger", a-t-elle déclaré. "La solution, pas seulement pour les otages, mais pour la paix, doit se rechercher au travers du dialogue".
Yolanda Pulecio a en revanche salué le rôle du président vénézuélien Hugo Chavez, dont la médiation a déjà permis la libération de plusieurs otages, dont Clara Rojas, la directrice de campagne de sa fille Ingrid. "Son appui a été très important pour nous, il nous a aidés avec sincérité, une grande compréhension de la situation et une grande solidarité", a ajouté Mme Pulecio, les larmes aux yeux en évoquant sa souffrance à la réception des dernières preuves de vie d'Ingrid Betancourt.
Contact : agirpouringrid33@voila.fr
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