Le président colombien Alvaro Uribe a offert mercredi l'exil en France aux guérilleros des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) qui accepteraient de déserter et de libérer leurs otages.
"Pour qu'il n'y ait pas le moindre doute, le gouvernement est disposé à ce que le guérillero, aussitôt après la libération, soit mis à bord d'un avion pour gagner un autre pays qui pourrait être la France", a déclaré M. Uribe, dans une déclaration à la radio Caracol de Bogota.
Les Farc réclament la libération de 500 guérilleros contre un groupe de 39 otages parmi lesquels figure l'ancienne candidate à la présidence Ingrid Betancourt, de nationalités francaise et colombienne, enlevée il y a plus de six ans.
M. Uribe s'est dit "prêt à définir un mécanisme" juridique pour garantir la liberté conditionnelles de ces guérilleros. "Espérons qu'ils nous écoutent dans la montagne. Libérez les otages, s'il vous plaît", a-t-il encore ajouté.
Ce n'est pas la première fois que la Colombie a proposé aux rebelles, avec l'accord des autorités françaises, de profiter de leur liberté en France.
M. Uribe a également rappelé avoir créé un fonds de 100 millions de dollars, afin d'offrir une récompense financière aux guérilleros repentis.
Le président colombien a affirmé qu'un rebelle avait déjà appelé le commissaire du gouvernement pour la paix, Luis Carlos Restrepo, afin de le questionner sur ces récompenses. "Un guérillero a appelé le commissaire pour se renseigner", a-t-il dit.
Il a enfin souligné qu'il maintenait sa "confiance" dans la médiation proposée par trois pays européens, l'Espagne, la Suisse et la France, ainsi que dans celle de l'Eglise.
"Pour qu'il n'y ait pas le moindre doute, le gouvernement est disposé à ce que le guérillero, aussitôt après la libération, soit mis à bord d'un avion pour gagner un autre pays qui pourrait être la France", a déclaré M. Uribe, dans une déclaration à la radio Caracol de Bogota.
Les Farc réclament la libération de 500 guérilleros contre un groupe de 39 otages parmi lesquels figure l'ancienne candidate à la présidence Ingrid Betancourt, de nationalités francaise et colombienne, enlevée il y a plus de six ans.
M. Uribe s'est dit "prêt à définir un mécanisme" juridique pour garantir la liberté conditionnelles de ces guérilleros. "Espérons qu'ils nous écoutent dans la montagne. Libérez les otages, s'il vous plaît", a-t-il encore ajouté.
Ce n'est pas la première fois que la Colombie a proposé aux rebelles, avec l'accord des autorités françaises, de profiter de leur liberté en France.
M. Uribe a également rappelé avoir créé un fonds de 100 millions de dollars, afin d'offrir une récompense financière aux guérilleros repentis.
Le président colombien a affirmé qu'un rebelle avait déjà appelé le commissaire du gouvernement pour la paix, Luis Carlos Restrepo, afin de le questionner sur ces récompenses. "Un guérillero a appelé le commissaire pour se renseigner", a-t-il dit.
Il a enfin souligné qu'il maintenait sa "confiance" dans la médiation proposée par trois pays européens, l'Espagne, la Suisse et la France, ainsi que dans celle de l'Eglise.
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