Les autorités colombiennes ont confirmé samedi la mort de Manuel Marulanda, fondateur et commandant en chef des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC). L'homme est décédé après plus de quarante années de lutte passées dans la jungle.
Toutefois, il reste difficile de prédire les conséquences de ce décès sur le sort des dizaines d'otages que retiennent les FARC. De sont côté, le président colombien Alvaro Uribe a annoncé publiquement samedi soir que des chefs de la guérilla étaient prêts à se démobiliser et à libérer des otages dont la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt.
L'ex-candidate à la présidentielle, est otage de la guérilla colombienne des FARC depuis plus de six ans. Ses conditions de santé sont alarmantes, selon des témoignages concordants.
Le chef des FARC, âgé de 80 ans et vétéran de la guérilla, est mort le 26 mars. Son remplaçant à la tête du mouvement devrait être Alfonso Cano, considéré comme l'actuel responsable idéologique.
Les circonstances de son décès ne sont pas encore confirmées, a précisé le ministère, qui n'a présenté aucune photographie ou document prouvant la disparition du chef guérillero surnommé "Tirofijo" (en plein dans le mille).
De son côté la France, accueillerait la confirmation de la mort du chef des FARC Manuel Marulanda avec "une grande joie", a déclaré dimanche la secrétaire d'Etat Rama Yade
Toutefois, il reste difficile de prédire les conséquences de ce décès sur le sort des dizaines d'otages que retiennent les FARC. De sont côté, le président colombien Alvaro Uribe a annoncé publiquement samedi soir que des chefs de la guérilla étaient prêts à se démobiliser et à libérer des otages dont la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt.
L'ex-candidate à la présidentielle, est otage de la guérilla colombienne des FARC depuis plus de six ans. Ses conditions de santé sont alarmantes, selon des témoignages concordants.
Le chef des FARC, âgé de 80 ans et vétéran de la guérilla, est mort le 26 mars. Son remplaçant à la tête du mouvement devrait être Alfonso Cano, considéré comme l'actuel responsable idéologique.
Les circonstances de son décès ne sont pas encore confirmées, a précisé le ministère, qui n'a présenté aucune photographie ou document prouvant la disparition du chef guérillero surnommé "Tirofijo" (en plein dans le mille).
De son côté la France, accueillerait la confirmation de la mort du chef des FARC Manuel Marulanda avec "une grande joie", a déclaré dimanche la secrétaire d'Etat Rama Yade
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