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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

28 avril 2008

Pourquoi Kouchner retourne en Colombie

Bruno Fanucchi
lundi 28 avril 2008 Le Parisien
Comment renouer le contact avec les Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie) pour tenter de faire libérer Ingrid Betancourt après la mission médicale envoyée en urgence au début du mois et rentrée bredouille ? C'est la question que Bernard Kouchner tentera de résoudre en s'envolant aujourd'hui - à la demande expresse du chef de l'Etat - pour une nouvelle tournée en Amérique latine. Le chef de la diplomatie française, qui s'était déjà rendu dans la région fin février, sera ce soir à Bogotá (Colombie) puis demain à Quito (Equateur) et mercredi à Caracas (Venezuela), avec pour seul objectif, confie-t-on dans son entourage, de « montrer la détermination de la France à tout faire pour que le dossier des otages et la solution humanitaire avancent malgré les obstacles. » « Je ne dis pas qu'on a tout bien fait, mais on y arrivera » car « la priorité, c'est qu'on la ramène », avouait Nicolas Sarkozy lui-même en rappelant, lors de son interview télévisée jeudi, qu'il s'était engagé le soir de son élection à « faire libérer cette femme qui vit un martyre ».

A Bogotá, le ministre des Affaires étrangères sera reçu par le président colombien, Alvaro Uribe, et s'entretiendra avec deux anciens otages de la guérilla marxiste : son homologue, Fernando Araújo, et Eladio Perez, qui est le dernier à avoir croisé Ingrid le 4 février. « La France compte sur Chávez » A Quito, Kouchner rencontrera le président équatorien Rafael Correa, qui a reconnu avoir eu des contacts avec Raul Reyes, le numéro deux des Farc, tué par l'armée colombienne le 1er mars, et cherchera à « trouver de nouvelles pistes ». Même si, depuis, les Farc ont été profondément affaiblies sur un point essentiel : les communications. A Caracas enfin, il s'entretiendra avec le président vénézuélien, Hugo Chávez, pour « le remettre dans le jeu » et lui dire que « la France compte sur lui ». « Si Chávez n'a pas les contacts avec les Farc, personne ne les a », souligne un proche du dossier, en confirmant - ce qui est un secret de Polichinelle - qu'Ivan Marquez (un des sept membres du Secrétariat, la direction clandestine des Farc) « vit probablement souvent au Venezuela » ! « Nos possibilités de continuer à libérer le reste des otages sont pour l'instant closes », déclarait hier ce même Marquez au quotidien du PC argentin, comme pour faire monter les enchères. Où en est enfin l'état de santé d'Ingrid, au sujet duquel les rumeurs les plus contradictoires ont récemment circulé ? Décidée en urgence sur la base d'informations extrêmement inquiétantes annonçant « une mort imminente », la mission médicale envoyée par la France a été « utile », observe un diplomate, même si elle n'a pas permis d'établir un diagnostic précis. On sait cependant plusieurs choses : Ingrid est dans un état de dénutrition évident ; ses capacités de défense immunitaires sont très réduites, et elle vit dans le pire endroit du monde : la jungle colombienne. C'est pour tenter de la sortir de là que la France mobilise tous ses réseaux. Quitte à faire de nouveau chou blanc. « Dans ce dossier sensible, où nous sommes en permanence manipulés, explique-t-on au Quai d'Orsay, on a le devoir de l'action avec tous les risques de non-succès

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