http://www.agirpouringrid.com/

Nouveau blog
http://agiravecingrid-aquitaine.blogspot.com/

Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

16 avril 2008

L'un des ravisseurs d'Ingrid Betancourt exprime ses regrets dans une lettre adressée à Nicolas Sarkozy

Par ToMuse AP - Mercredi 16 avril, 06h37

COMBITA, Colombie - L'un des ravisseurs d'Ingrid Betancourt a adressé mardi une lettre au président français Nicolas Sarkozy pour lui exprimer ses "remords" d'avoir participé à l'enlèvement de l'otage franco-colombienne il y a plus de six ans.

Condamné à une peine de 34 ans d'emprisonnement et incarcéré dans la ville de Combita, dans le nord du pays, Nolberto Uni Vega a confié mardi ses regrets à plusieurs journalistes venus le rencontrer avant d'annoncer qu'il avait rédigé une lettre à l'intention du chef de l'Etat français.
Prisonnier derrière une cage métallique, l'ancien FARC aujourd'hui âgé de 36 ans a transmis sa missive à une journaliste chargée de la remettre en main propre à la mère de l'otage, Yolanda Pulecio, qui servira d'intermédiaire avec Nicolas Sarkozy. "J'ai beaucoup d'admiration pour elle", a-t-il dit.
"La famille, sa mère, ses enfants, son mari, beaucoup de personnes souffrent", a déclaré Nolberto Uni Vega.
L'ex-guérillero des Forces armées révolutionnaires de Colombie a affirmé que l'enlèvement d'Ingrid Betancourt n'avait jamais été planifié par l'état-major de la rébellion et qu'il se trouvait à un point de contrôle sur une route colombienne le jour de la capture de la candidate à l'élection présidentielle, le 23 février 2002. "Les ordres étaient d'arrêter toute personnalité politique d'envergure nationale", a-t-il expliqué.
Ingrid Betancourt pensait qu'elle se trouvait à un barrage militaire lors de son arrestation et celle-ci a pris peur lorsqu'elle s'est rendue compte qu'il s'agissait en fait d'un point de contrôle des FARC, a expliqué Nolberto Uni Vega.
"Son visage a changé de couleur", s'est-il souvenu, ajoutant que la Franco-Colombienne ne lui avait pas adressé la parole sur le moment. Nolberto Uni Vega a précisé qu'il n'était resté qu'une journée en compagnie de la sénatrice avant qu'elle ne soit livrée à d'autres membres des FARC.
Contactée mardi par l'Associated Press, la soeur de l'otage franco-colombienne, Astrid Betancourt, a refusé de réagir aux regrets exprimés par cet ancien rebelle

Aucun commentaire: