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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

2 avril 2008

Ingrid Betancourt: la mission humanitaire française partira ce mercredi ou jeudi

La mission humanitaire française qui a pour objectif d'obtenir accès à l'otage Ingrid Betancourt partira ce mercredi ou jeudi de France pour la Colombie et une réunion de crise sur cette mission était prévue mercredi à Paris, a-t-on appris de source proche du dossier.
"La mission n'est pas encore partie, elle partira aujourd'hui ou demain, et un briefing est prévu ce matin à l'Elysée", a indiqué cette source à l'AFP.
Cette mission comprend "deux personnes", a-t-on encore précisé de même source.
"Le CICR (Comité International de la Croix Rouge) n'est pas absent de cette opération", a-t-on précisé, contrairement aux informations recueillies auprès du CICR à Bogota.
La présidence française a annoncé mardi l'envoi d'une "mission humanitaire sur place" pour prendre contact avec la guerilla colombienne des Farc et "obtenir accès à notre compatriote", après une conversation téléphonique de Nicolas Sarkozy avec son homologue colombien Alvaro Uribe.
Ce dernier s'est déclaré prêt à "suspendre les opérations militaires" dans les zones où la mission dépêchée par Paris indiquera qu'elle doit aller.
"Nous avons exprimé notre accord complet pour permettre à cette mission médicale internationale de prendre contact avec les otages et de les soigner", a déclaré M. Uribe à la presse, précisant qu'elle serait "accompagnée par le CICR".
M. Sarkozy a par ailleurs lancé mardi un appel au chef des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) Manuel Marulanda pour qu'il relâche immédiatement la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt.
"Vous avez maintenant un rendez-vous avec l'histoire. Ne le manquez pas. Libérez Ingrid Betancourt et ceux des otages qui sont les plus affaiblis !", a lancé M. Sarkozy à Manuel Marulanda dans un message vidéo diffusé aux médias, affirmant qu'Ingrid Betancourt, otage des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) depuis plus de six ans, était "en danger de mort imminente".
Il a averti Manuel Marulanda: si l'otage franco-colombienne devait mourir, "ce serait une faute politique grave", "ce serait un crime" dont le chef de la guérilla marxiste serait tenu pour "responsable".
M. Sarkozy avait déjà lancé un appel à M. Marulanda en décembre pour la libération de l'otage.
M. Sarkozy a en outre appelé mardi soir le président du Venezuela Hugo Chavez pour "faire le point avec lui sur la situation des otages en Colombie", a annoncé l'Elysée.
M. Chavez avait obtenu la libération de six otages, mais il a été privé en novembre de sa mission de médiation auprès des Farc par son homologue colombien.
L'appel solennel du président Sarkozy à la guérilla intervient alors que les témoignages alarmants s'accumulent sur l'état de santé de l'ex-candidate à la présidentielle colombienne, qui souffre d'une rechute d'hépatite B.
"Des sources relativement sûres annoncent qu'elle a commencé une grève de la faim le 23 février", a déclaré le président du comité de soutien à Ingrid Betancourt (CSIB), Arnaud Mangiapan, après un entretien mardi avec M. Sarkozy.
"La grève de la faim ? Je n'en crois pas un mot", a cependant affirmé Astrid Betancourt, al soeur de l'otage, à la chaîne d'informations en continu Itélé.
"C'est une interprétation qui, à mon avis, n'est pas censée. Ingrid ne va pas se laisser mourir" a-t-elle ajouté.
Nénamoins, face à "l'urgence" de la situation, la famille et les comités de soutien ont relancé la mobilisation.
"Les Farc doivent se rendre compte que s'il arrive quoi que ce soit à ma mère, ce seront eux les premiers responsables, qu'il n'y aura plus aucun avenir politique pour eux", a réagi sa fille Mélanie Delloye.
La France maintient une extrême discrétion sur les négociations en cours. Le Premier ministre François Fillon a confirmé mardi que la France était prête à accueillir des membres des Farc libérés par Bogota en échange d'otages, dont Ingrid Betancourt, et qu'elle leur accorderait le statut de "réfugiés politiques".
Ingrid Betancourt fait partie des 39 otages dits "politiques" que la guérilla des Farc, en lutte depuis 1964 contre les autorités colombiennes, veut échanger contre 500 guérilleros emprisonnés.

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