Bernard Kouchner a déclaré vendredi que le président français Nicolas Sarkozy était prêt à se rendre à la frontière entre la Colombie et le Venezuela avec son homologue vénézuélien Hugo Chavez pour aider à la libération d'Ingrid Betancourt.
"Si on n'essaie pas, il n'y aura pas d'espoir. Si on n'essaie pas il y aura forcément un échec", a déclaré le chef de la diplomatie française, interrogé par Associated Press Television News (APTN) en marge du sommet de l'OTAN à Bucarest.
"Voilà, nous essayons, nous sommes en train, nous sommes complètement engagés dans cette mission de sauvetage d'une femme en péril et des autres otages", a ajouté le ministre. "En effet s'il y avait un espoir, M. Chavez et M. Sarkozy iraient chercher Mme Betancourt à la frontière", a-t-il répété.
Présent à Bucarest dans le cadre du sommet de l'OTAN, le ministre français des Affaires étrangères a ajouté que Paris serait éventuellement prêt à accueillir de manière temporaire dans des départements d'outre-mer, "peut-être par la Guyane, par la Martinique", des guérilléros colombiens libérés dans le cadre d'un accord visant à libérer Ingrid Betancourt et d'autres otages des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC). "Mais nous n'en sommes hélas pas là", a-t-il conclu.
"Si on n'essaie pas, il n'y aura pas d'espoir. Si on n'essaie pas il y aura forcément un échec", a déclaré le chef de la diplomatie française, interrogé par Associated Press Television News (APTN) en marge du sommet de l'OTAN à Bucarest.
"Voilà, nous essayons, nous sommes en train, nous sommes complètement engagés dans cette mission de sauvetage d'une femme en péril et des autres otages", a ajouté le ministre. "En effet s'il y avait un espoir, M. Chavez et M. Sarkozy iraient chercher Mme Betancourt à la frontière", a-t-il répété.
Présent à Bucarest dans le cadre du sommet de l'OTAN, le ministre français des Affaires étrangères a ajouté que Paris serait éventuellement prêt à accueillir de manière temporaire dans des départements d'outre-mer, "peut-être par la Guyane, par la Martinique", des guérilléros colombiens libérés dans le cadre d'un accord visant à libérer Ingrid Betancourt et d'autres otages des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC). "Mais nous n'en sommes hélas pas là", a-t-il conclu.
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