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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

30 mars 2008

Paris envoie un avion en Guyane, les tractations s'accélèrent

PARIS (AFP) - 17 h 09

La France a annoncé dimanche avoir envoyé en Guyane un avion médicalisé prêt à intervenir en cas de libération d'Ingrid Betancourt, alors que les tractations s'accélèrent autour du sort de l'otage franco-colombienne, au plus mal selon plusieurs témoignages.Un avion de l'armée française, un Falcon 900, s'est posé dans la nuit de vendredi à samedi à l'aéroport international Rochambeau à Matoury, près de Cayenne, avant de se garer sur la base militaire jouxtant l'aéroport, selon des sources aéroportuaires."Des informations concernant l'état de santé d'Ingrid Betancourt ainsi que des déclarations faisant état de possibles tractations à propos de sa libération ont amené le président (Nicolas Sarkozy) à décider, à titre de précaution" l'envoi d'un avion médicalisé en Guyane, a indiqué dimanche la présidence.L'inquiétude sur le sort de l'ex-candidate à la présidentielle colombienne, 46 ans, séquestrée depuis six ans dans la jungle par la guérilla des Farc et qui souffre notamment d'une rechute d'hépatite B, a été relancée ces derniers jours par les déclarations alarmantes des autorités colombiennes sur son état de santé.L'avion est "prêt à intervenir à tout moment pour qu'elle puisse être acheminée au plus vite dans un centre hospitalier si elle était libérée", affirme la présidence française.Paris, qui joue un rôle clef de médiateur aux côtés d'autres pays dans la crise des otages en Colombie, observe la plus grande discrétion. Néanmoins, selon des sources proches du dossier, les tractations s'accélèrent afin d'obtenir sa libération.Si l'essentiel se joue en coulisses, les initiatives publiques se sont multipliées ces dernières semaines, avec notamment la présentation à Paris d'un "plan" élaboré par un ex-otage colombien et les récentes propositions de Bogota d'élargir des guérilleros emprisonnés contre la libération de Mme Betancourt.Elle fait partie des 39 otages dits "politiques" que les Farc, en lutte contre les autorités colombiennes depuis 1964, propose d'échanger contre 500 guérilleros emprisonnés.
Ingrid Betancourt, en novembre 2007 dans la jungle colombienne © AFP/Presidencia/ArchivesEn visite samedi dans la localité de San José del Guaviare (sud-est), la région où Mme Betancourt a été vue fin février, le président colombien Alvaro Uribe a appelé les guérilleros à la désertion. Il a affirmé avoir déjà "établi" avec la France que ceux qui livreraient des otages seraient protégés et pourraient "partir vivre à l'étranger"."Pour l'instant, aucune information concrète ne laisse espérer une libération imminente. C'est pourquoi nous en appelons à la bienveillance, la sérénité et la discrétion indispensables à la bonne gestion de ce dossier", a cependant souligné dimanche le comité de soutien à Ingrid Betancourt.Et la Fédération internationale des Comités Ingrid Betancourt, tout en se réjouissant de l'envoi d'un avion médicalisé, s'est aussi inquiétée des déclarations de M. Uribe."Nous demandons au président Uribe de rester extrêmement prudent dans ses déclarations", a affirmé à l'AFP le vice-président de la Ficib, Olivier Roubi.Il a appelé le président colombien à "ne rien faire qui puisse entraver des discussions en cours" et à "cesser toute action militaire" dans les zones où se trouvent les otages.M. Uribe avait ordonné samedi à l'armée "de localiser les preneurs d'otages", alors que les familles redoutent des sauvetages militaires qui conduirait à la mort des séquestrés.Ces signaux contradictoires ont conduit la famille de l'otage à dénoncer "l'incohérence" du gouvernement colombien "qui à la fois prône une solution négociée et intensifie l'activité militaire" contre les Farc. Elle a aussi averti la guérilla qu'elle sera considérée comme la "première responsable" si Ingrid Betancourt mourrait.

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