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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

4 mars 2008

Les FARC allaient libérer 12 otages dont Ingrid Betancourt en mars, selon le gouvernement équatorien

Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) avaient offert de libérer en mars 12 otages, dont la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt et trois Américains, a annoncé lundi soir le gouvernement équatorien. Les contacts entre le gouvernement équatorien et les FARC, dénoncés par la Colombie, avaient pour but d'organiser ces libérations, selon Quito.
"Je suis au regret de vous dire que les discussions étaient assez avancées pour libérer en Equateur 12 otages, dont Ingrid Betancourt", a déclaré le président équatorien Rafael Correa pour qui cet espoir a été freiné par "les mains guerrières" du gouvernement colombien. Rafael Correa faisait allusion à l'attaque samedi par les forces armées colombiennes d'un campement des FARC en territoire équatorien qui a conduit à la mort du No2 de la guérilla colombienne, Raul Reyes et de 16 autres guérilleros et provoqué une forte dégradation des relations diplomatiques entre la Colombie, l'Equateur et le Venezuela.
"Tout a été anéanti par les mains guerrières et autoritaires (du gouvernement de la Colombie). Nous ne pouvons pas exclure que cela ait été le but de l'incursion et de l'attaque des ennemis de la paix", a déclaré Rafael Correa.
Le ministre équatorien de la Sécurité Gustavo Larrea a confirmé avoir rencontré Reyes "pour raisons humanitaires" en un lieu qui ne se trouvait ni en Colombie ni en Equateur, mais il a refusé de dire où.
"Nous avions commencé à travailler" pour la libération d'Ingrid Betancourt, des citoyens nord-américains Thomas Howes, Keith Stansell et Marc Gonsalves, a-t-il précisé.
La libération de membres de l'armée colombienne (les lieutenants Juan Carlos Bermeo et Reymundo Balagon, le sergent Harvey Delgado et le caporal Pablo Moncayo), et de membres de la police (le colonel Luis Mendieta, les capitaines Edgar Duarte et Julian Guevara et l'Equatorien Marcelino Arriaga) était également en discussion, a-t-il ajouté.
Tous ces otages ont été enlevés par les FARC il y a plus de six ans.
"Nous avons demandé cette action humanitaire aux FARC" et c'est pourquoi Larrea a rencontré Reyes début janvier. Raul Reyes, No2 des FARC a été tué dans l'attaque par l'armée colombienne, samedi à l'aube, de son campement en territoire équatorien, ce qui a conduit à la rupture des relations diplomatiques entre les deux pays.
Dimanche, le directeur de la police colombienne, Oscar Naranjo, avait révélé l'existence de documents saisis dans l'ordinateur de feu Raul Reyes faisant état de réunions avec Larrea et d'accords politiques présumés.
Le ministre équatorien a affirmé qu'"il n'existe aucun accord' avec les FARC qui ne soit humanitaire. "Nous ne négociions rien d'autre que la libération des otages", a-t-il martelé.
Gustavo Larrea était intervenu en tant que délégué de l'Equateur dans le cadre de la mission internationale, supervisée par le Venezuela, qui tentait d'obtenir fin décembre la libération des Colombiennes Clara Rojas et Consuelo Gonzalez.

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