Les eurodéputés ont brandi des portraits d'Ingrid Betancourt et réclamé la libération immédiate des otages des FARC. La famille de la Franco-Colombienne, bien qu'invitée à la tribune d'honneur, n'a pas participé à l'événement.
Le président du parlement Hans-Gert Pöttering a réclamé dans un bref discours la "libération immédiate" de Mme Betancourt et de tous les autres otages détenus par la guérilla colombienne des FARC, "pour des raisons humanitaires".
Sous les ovations de l'hémicycle, de nombreux eurodéputés ont brandi, à l'initiative des Verts, des portraits de l'ancienne candidate écologiste à la présidentielle colombienne avec les mentions "Ingrid libre" et "Preuve de vie, preuve d'urgence".
L'ancien sénateur colombien Luis Eladio Perez, libéré le 27 février par les FARC, a affirmé mardi que la Franco-Colombienne était découragée et allait "très mal". Capturée le 23 février 2002, Ingrid Betancourt fait partie d'un groupe de 39 otages dont la guerilla propose la libération, en échange de celle de 500 miliciens emprisonnés.
Le président du parlement Hans-Gert Pöttering a réclamé dans un bref discours la "libération immédiate" de Mme Betancourt et de tous les autres otages détenus par la guérilla colombienne des FARC, "pour des raisons humanitaires".
Sous les ovations de l'hémicycle, de nombreux eurodéputés ont brandi, à l'initiative des Verts, des portraits de l'ancienne candidate écologiste à la présidentielle colombienne avec les mentions "Ingrid libre" et "Preuve de vie, preuve d'urgence".
L'ancien sénateur colombien Luis Eladio Perez, libéré le 27 février par les FARC, a affirmé mardi que la Franco-Colombienne était découragée et allait "très mal". Capturée le 23 février 2002, Ingrid Betancourt fait partie d'un groupe de 39 otages dont la guerilla propose la libération, en échange de celle de 500 miliciens emprisonnés.
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