Les proches d'Ingrid Betancourt ont confié samedi être "rongés par l'inquiétude" et "paniqués" après l'annonce de la mort au combat du No2 des FARC, Raul Reyes, craignant des "représailles" de la guérilla colombienne contre leurs captifs.
"Nous appelons les FARC à la raison", a indiqué à l'Associated Press Hervé Marro, porte-parole du Comité de soutien à l'otage franco-colombienne. "La communauté internationale a les yeux rivés sur eux", a-t-il poursuivi, estimant qu'il était "de leur intérêt que pas le moindre cheveu (...) d'un otage soit touché".
Selon M. Marro, Fabrice Delloye, l'ex-mari d'Ingrid Betancourt, a immédiatement téléphoné au président français Nicolas Sarkozy, lequel aurait "très vite compris l'urgence" et se serait "engagé" à téléphoner à son homologue vénézuélien Hugo Chavez pour que ce dernier s'assure auprès des FARC qu'il ne serait fait aucun mal aux otages. AP
"Nous appelons les FARC à la raison", a indiqué à l'Associated Press Hervé Marro, porte-parole du Comité de soutien à l'otage franco-colombienne. "La communauté internationale a les yeux rivés sur eux", a-t-il poursuivi, estimant qu'il était "de leur intérêt que pas le moindre cheveu (...) d'un otage soit touché".
Selon M. Marro, Fabrice Delloye, l'ex-mari d'Ingrid Betancourt, a immédiatement téléphoné au président français Nicolas Sarkozy, lequel aurait "très vite compris l'urgence" et se serait "engagé" à téléphoner à son homologue vénézuélien Hugo Chavez pour que ce dernier s'assure auprès des FARC qu'il ne serait fait aucun mal aux otages. AP
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