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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

20 mars 2008

Ingrid Betancourt: la France joue "un rôle crucial" dans le nouveau plan

Romandie News - AFP - 20 mars
PARIS - L'ex-otage Luis Eladio Perez a affirmé jeudi à l'AFP que la France jouait un "rôle crucial" dans le plan qu'il est venu présenter au président français Nicolas Sarkozy pour la libération de la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt détenue par la guérilla des Farc.
L'ex-sénateur a indiqué que dans la première version de son plan figurait l'idée d'un accueil "en territoire français -en Guyane, en Martinique-" de guérilleros emprisonnés en Colombie que la France pourrait échanger avec les Farc contre des otages, dont Ingrid Betancourt.
"Mais cette idée que j'avais avancée a été enrichie et modifiée à la demande du gouvernement français", a souligné M. Perez, libéré récemment par la guérilla marxiste à la demande du président vénézuélien Hugo Chavez.
Il commentait l'entretien accordé à l'hebdomadaire Paris-Match où il évoquait l'accueil en France, "en Guyane par exemple" de guérilleros de haute importance pour les Farc qui seraient échangés "directement entre la France et la guérilla". "Il a été réalisé une semaine avant ma visite à Paris", a-t-il souligné.
"La France va jouer un rôle crucial. Mais pour que ça marche, il faut un peu de discrétion", a-t-il réaffirmé, "ne serait-ce que parce qu'il faut qu'il soit présenté au président (colombien) Alvaro Uribe et à Hugo Chavez", a-t-il estimé.
M. Perez, qui doit quitter la France dimanche, a affirmé qu'il devait rencontrer M. Uribe lundi et M. Chavez "la semaine prochaine".
Les Farc veulent échanger 39 otages dits "politiques" aux mains de la guérilla, dont Ingrid Betancourt et trois Américains, contre la libération de quelque 500 guérilleros emprisonnés.
M. Perez, qui a passé plus de six ans aux mains des Farc, a répété qu'il était "très optimiste" quant à une libération prochaine d'Ingrid Betancourt et qu'il était "certain" que M. Uribe accepterait son plan.
Du côté de la guérilla, il s'est de nouveau dit "sûr de la volonté des Farc de négocier" la libération des otages, en dépit selon lui "de positions divergentes" au sein de la guérilla, l'aile militaire semblant hostile à une négociation politique avec M. Uribe.
Selon des sources proches du dossier, le plan de M. Perez comprendrait plusieurs étapes: une reconnaissance politique des Farc, la suppression de la guérilla de la liste européenne des organisations terroristes et une proposition d'asile permettant l'accueil de guérilleros libérés sur le territoire français.
Ingrid Betancourt, ancienne candidate à la présidentielle colombienne, a été enlevée le 23 février 2002, et est apparue très amaigrie et déprimée dans une vidéo et une lettre reçues en décembre par sa famille.

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