http://www.agirpouringrid.com/

Nouveau blog
http://agiravecingrid-aquitaine.blogspot.com/

Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

2 février 2008

Texte de Cristiana Reali

Elle est là et elle vous regarde. De jour comme de nuit, ses paupières ne se ferment jamais. Où que vous soyez, son œillade figée vous est dirigée, son appel à l’aide vous est lancé. Plus un souffle de vent pour animer ses cheveux, plus l’ombre d’une liberté pour agiter ses lèvres. Pourtant, c’est bien vous que la captive Ingrid Betancourt contemple de ses yeux captivants et immobiles sur la Place de l’Hôtel de Ville de Paris. Pour toute réponse, c’est un mélange de compassion et de résignation qui lui est exprimé. Cela n’a que trop duré. La rage au cœur, qui l’animait il y a quatre ans, nous pénètre et inonde nos sens. Nous ne devons pas lui tourner le dos. Oui, sa liberté, c’est aussi la nôtre : que la mobilisation soit donc nationale et sans répit. Elle est là et elle nous regarde. N’oubliez pas que de jour comme de nuit, ses paupières ne se ferment jamais.
Cristiana Reali

Aucun commentaire: