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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

29 février 2008

Otages des Farc: Chávez s'active

Le président vénézuélien propose l'intervention d'un groupe de pays amis. Nicolas Sarkozy se dit, lui, prêt à aller sur place chercher Ingrid Betancourt, qui, pour sa part, réclamerait la reconnaissance politique des Farc.
LIBERATION.FR (AVEC SOURCE AFP)
Initiatives et propositions se multiplient pour obtenir la libération des 41 otages «politiques» des Farc, échangeables contre 500 guérilleros emprisonnés dans le cadre d’un accord humanitaire. Au lendemain de la fin de la captivité de quatre ex-parlementaires colombiens, le président du Venezuela, Hugo Chávez, a proposé qu’un groupe de pays amis latino-américains reçoive des responsables colombiens et des Farc afin de négocier la remise en liberté de tous les détenus de la guérilla.
Dans un message téléphonique à la chaîne de télévision d’Etat VTV, le chef de l'Etat vénézuélien a affirmé que «c’est une idée qui est en train de prendre forme au sein de ce groupe (de pays amis) capable de se former immédiatement et de recevoir un émissaire de Manuel Marulanda (chef des Farc) et un responsable colombien pour commencer à discuter de la libération de tous les otages». Chávez a ajouté que cette option était considérée comme prioritaire par son gouvernement et il a évoqué la création d’un groupe de pays de type «Contadora» (créé en 1983 pour faire face à la situation explosive en Amérique centrale).

Prisonniers de guerre

«Le secrétaire général de l’OEA (Organisation des Etats américains), José Miguel Insulza, est d’accord, et j’ai discuté récemment avec l’un de ses envoyés, l’ex-ministre des Affaires étrangères argentin, Dante Caputo.» Le président vénézuélien compte sur le soutien du Brésil, de l’Argentine, de la France, de l’Equateur, de la Bolivie, de Cuba et de la Suisse. Selon lui, le seul obstacle à la formation de ce groupe est le gouvernement colombien: «Tous sont d’accord sauf (le président colombien Alvaro) Uribe.»
Par ailleurs, selon l’un des otages libérés - Luis Eladio Pérez - qui a pu parler avec Ingrid Betancourt le 4 février alors qu’il se trouvait encore en captivité, l’ex-candidate à la présidentielle colombienne estime que les négociations pour les échanges d’otages en Colombie doivent se dérouler sous l’égide de la Convention de Genève. Il a ainsi affirmé lors de sa première conférence de presse, jeudi à Caracas, que «pour Ingrid, il existe des alternatives politiques […] L'échange doit être réalisé entre prisonniers de guerre en application de la Convention de Genève, avec la condition primordiale que le président colombien Alberto Uribe reconnaisse le statut politique aux Farc». D’après l'ex-otage, Ingrid Betancourt insiste sur le fait que «les civils doivent être exclus du conflit afin de parvenir à une humanisation de la guerre».

Pas d'autre libération unilatérale
Depuis l’Afrique du Sud, où il est en visite, Nicolas Sarkozy, qui a fait de la libération d’Ingrid Betancourt une priorité, a réclamé un «geste humanitaire», tout en mettant en garde la guérilla marxiste qui retient l’otage depuis six ans. «C’est une question de vie ou de mort, d’urgence humanitaire, a dit Sarkozy. Je suis prêt, comme le souhaite le président Chavez, si c’est la condition de sa libération, à aller moi-même à la frontière du Venezuela et de la Colombie chercher Ingrid Betancourt si ce devait être une condition des Farc.» La famille d’Ingrid Betancourt a, elle, lancé jeudi à Paris un appel désespéré pour sauver l’otage «au bord de la mort»,
Mercredi, quatre otages des Farc, dont Luis Eladio Pérez, porteurs de nouvelles alarmantes sur l’état de santé de la Franco-Colombienne, avaient été libérés sans contrepartie par la guérilla marxiste en Colombie, avant d’être transférés au Venezuela pour y être remis au président Hugo Chavez. Depuis, les Farc ont exclu toute nouvelle libération unilatérale et réclament toujours un retrait militaire dans les municipalités de Florida et Pradera (800 km² dans le sud du pays) avant d’entamer des négociations.

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