http://www.agirpouringrid.com/

Nouveau blog
http://agiravecingrid-aquitaine.blogspot.com/

Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

21 février 2008

Kouchner en Colombie


Selon le ministre des Affaires étrangères, les FARC ont proposé de libérer quatre parlementaires colombien dans les prochaines semaines. Après Hugo Chavez, Bernard Kouchner doit rencontrer aujourd'hui le président colombien Alvaro Uribe.
«Le président Chavez nous a dit qu'il y aurait un quatrième otage qui serait liberé et non pas seulement trois et nous sommes très heureux de ça», a déclaré le ministre français à l'issue d'une rencontre avec Hugo Chavez. Il s'agit d'un parlementaire, dont l'identité sera révélée par Hugo Chavez. Cet otage s'ajouterait à la liste des trois anciens parlementaires colombiens, Gloria Polanco, Luis Eladio Perez et Orlando Beltran, que les Forces armées révolutionnaires de Colombie se sont engagées au début du mois à libérer.
La France n'entend pas lâcher le fil ténu qui pourrait mener à Ingrid Betancourt. C'est dans cet espoir que Bernard Kouchner s'est envolé hier pour le Venezuela et la Colombie. Il s'est entretenu hier à Caracas avec Hugo Chavez et sera aujourd'hui à Bogota où il rencontrera Alvaro Uribe, double étape indispensable pour relancer une dynamique apparemment enlisée. Avec ses interlocuteurs, le chef de la diplomatie devait évoquer les «propositions» mises en avant par Paris, notamment la piste des médiations suisse et espagnole. Mais dans l'attente d'éventuelles initiatives, le scepticisme prévaut. Le découragement, même, comme celui que vient d'exprimer Yolanda Pulecio, la mère d'Ingrid Betancourt, dans une lettre à sa fille : «Je ne vois aucune volonté politique de trouver un accord humanitaire» , écrit-elle, en incriminant tant le gouvernement colombien que les rebelles des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) qui retiennent la Franco-Colombienne depuis 6 ans. La médiation de l'Espagne et de l'Église colombienne, elle, a été rejetée sans ménagement par les Farc qui se sont récemment déclarées en «guerre totale» contre l'armée. «Madrid et l'Église de Colombie, en prenant parti pour le gouvernement d'Uribe, se sont exclus eux-mêmes comme possibles médiateurs», déclaraient les rebelles la semaine dernière dans un communiqué.
Uribe vers un troisième mandat
À rebours de ce pessimisme, on veut faire valoir à Paris que le moment est opportun pour cette visite ministérielle dans un contexte où «chacun aurait intérêt à ce que les choses bougent», estime une source diplomatique. Politiquement affaiblies, les Farc connaissent une situation militaire difficile, ajoute-t-on. L'affaire du petit Emmanuel, jeune fils de l'otage Clara Rojas libérée en janvier, «retrouvé » dans un orphelinat a été préjudiciable aux rebelles. L'opinion colombienne, activement «chauffée» par Uribe, est prompte à exprimer son ras-le-bol de la guérilla. Le président colombien quant à lui, même s'il se sent en position de force, continue de voir sa situation empoisonnée par l'affaire des otages, notamment dans le cas où il aurait en tête de réformer la Constitution pour briguer un troisième mandat en 2010.

Aucun commentaire: