Le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, se rend mercredi et jeudi au Venezuela et en Colombie, à la veille du sixième anniversaire de l'enlèvement d'Ingrid Betancourt.
Le ministre évoquera "l'urgence d'une solution humanitaire permettant de conduire à la libération des otages détenus en Colombie" par les forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), souligne le quai d'Orsay dans un communiqué.
Bernard Kouchner s'entretiendra mercredi à Caracas avec le président vénézuélien Hugo Chavez et jeudi à Bogota avec Alvaro Uribe, le chef de l'Etat colombien.
Paris insiste sur le fait que l'urgence humanitaire qui s'attache à la recherche d'une libération rapide des otages en Colombie et l'importance de l'Amérique latine dans l'action extérieure de la France sont "les deux volets majeurs" du déplacement de Bernard Kouchner.
Le 23 février marquera les six ans de détention de la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt.
A cette occasion, ses proches organisent une semaine de mobilisation exceptionnelle, notamment en France.
Les récentes preuves de vie d'Ingrid Betancourt, la libération de Clara Rojas et de Consuelo Gonzalez le 10 janvier ont montré, selon eux, l'urgence de la libération des otages.
Les Farc ont proposé d'échanger la Franco-Colombienne et 42 autres otages contre 500 guérilleros emprisonnés et exigent dans ce but la démilitarisation de deux municipalités du sud du pays. Le président Alvaro Uribe s'est dit disposé à négocier cet échange mais refuse cette démilitarisation.
Au début du mois, les rebelles ont proposé de remettre trois otages en mauvaise santé au président vénézuélien Hugo Chavez et à une sénatrice colombienne.
Cette annonce a relancé l'espoir d'un accord sur la libération d'autres captifs, dont Ingrid Betancourt et trois Américains.
Le ministre évoquera "l'urgence d'une solution humanitaire permettant de conduire à la libération des otages détenus en Colombie" par les forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), souligne le quai d'Orsay dans un communiqué.
Bernard Kouchner s'entretiendra mercredi à Caracas avec le président vénézuélien Hugo Chavez et jeudi à Bogota avec Alvaro Uribe, le chef de l'Etat colombien.
Paris insiste sur le fait que l'urgence humanitaire qui s'attache à la recherche d'une libération rapide des otages en Colombie et l'importance de l'Amérique latine dans l'action extérieure de la France sont "les deux volets majeurs" du déplacement de Bernard Kouchner.
Le 23 février marquera les six ans de détention de la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt.
A cette occasion, ses proches organisent une semaine de mobilisation exceptionnelle, notamment en France.
Les récentes preuves de vie d'Ingrid Betancourt, la libération de Clara Rojas et de Consuelo Gonzalez le 10 janvier ont montré, selon eux, l'urgence de la libération des otages.
Les Farc ont proposé d'échanger la Franco-Colombienne et 42 autres otages contre 500 guérilleros emprisonnés et exigent dans ce but la démilitarisation de deux municipalités du sud du pays. Le président Alvaro Uribe s'est dit disposé à négocier cet échange mais refuse cette démilitarisation.
Au début du mois, les rebelles ont proposé de remettre trois otages en mauvaise santé au président vénézuélien Hugo Chavez et à une sénatrice colombienne.
Cette annonce a relancé l'espoir d'un accord sur la libération d'autres captifs, dont Ingrid Betancourt et trois Américains.
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