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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

24 février 2008

Colombie: la zone où les FARC séquestrent Ingrid Betancourt serait connue

BOGOTA, dimanche 24 février 2008 (LatinReporters.com) - La zone où la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt est séquestrée par la guérilla marxiste des FARC aurait été localisée au sud-est de la Colombie par les services de renseignement de l'armée colombienne indique à Bogota l'influent journal de centre droit El Tiempo, proche du gouvernement du président conservateur Alvaro Uribe.

BOGOTA, 24 février 2008 (LatinReporters) - Ce point de rencontre de 3 départements (Vaupés, Guaviare et Caqueta) du sud-est de la Colombie serait la zone où, selon les services de renseignement cités à Bogota par le journal El Tiempo, la guérilla des FARC séquestre la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, otage des insurgés marxistes depuis le 23 février 2002.
Le ministre colombien de la Défense, Juan Manuel Santos, annonçait le 22 février que l'armée sait où les FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) détiennent quatre ex-parlementaires colombiens dont la guérilla a annoncé la prochaine libération. Le ministre ajoutait que l'armée n'interviendrait pas afin de faciliter cette libération.La guérilla prétend que ces otages -Eduardo Géchem, Gloria Polanco, Orlando Beltrán et Luis Eladio Pérez- soient remis à des "délégués" de Hugo Chavez, le président du Venezuela.Revenant deux jours plus tard sur l'annonce du ministre Santos, El Tiempo indique que, pour être amené au lieu de sa prochaine libération, "Luis Eladio Pérez serait parti d'un camp situé sur les rives de la rivière Apaporis, entre le Guaviare et le Vaupés. Selon des sources des services de renseignement, il s'agit de la même région où se trouverait l'ex-candidate présidentielle Ingrid Betancourt".Le long de l'Apaporis, la limite entre les départements du Guaviare et du Vaupés est aussi limitrophe de celui du Caqueta. Le point de rencontre des 3 départements, indiqué sur la carte publiée par LatinReporters.com, serait donc la zone, peut-être trop vaste (le Guaviare couvre à lui seul 55.000 km²), où la guérilla des FARC séquestrerait actuellement Ingrid Betancourt, otage des insurgés marxistes depuis le 23 février 2002.Toujours selon les services de renseignement militaires cités par El Tiempo, les quatre otages en voie de libération ont été dirigés vers "la zone où, il y a un mois [le 10 janvier; ndlr] Clara Rojas et Consuelo Gonzalez de Perdomo ont été libérées", sur le territoire de la municipalité d'El Retorno. Avec l'accord de Bogota, ces deux otages Colombiennes relâchées unilatéralement par les FARC avaient été mises à bord d'hélicoptères vénézuéliens portant les emblèmes de la Croix-Rouge. Transportées à Caracas, elles y furent accueillies par Hugo Chavez.L'état critique d'Eduardo Géchem retarderait sa marche vers le point de libération des quatre anciens parlementaires. "Nos services de renseignement ont été informés de la gravité de l'état de santé du sénateur Géchem. Puisse la guérilla tenir promesse aux yeux du monde et libérer rapidement" ces quatre otages déclarait samedi le président colombien Alvaro Uribe.Selon le chef de l'Etat, la localisation des quatre séquestrés et l'annonce publique de cette localisation auraient été effectuées afin d'inciter la guérilla à accélérer leur libération promise. Il s'agirait aussi de prouver que l'armée, quoique disposant des coordonnées de l'ennemi, n'interviendra pas pour compromettre cette libération. Que les FARC "ne viennent pas dire maintenant qu'ils ne les libèrent pas à cause d'opérations militaires" a précisé Alvaro Uribe. Fin décembre, les guérilleros invoquaient une offensive de l'armée, niée par Bogota, pour justifier le report de la mise en liberté de Clara Rojas et Consuelo Gonzalez de Perdomo.La localisation supposée de la zone de détention d'Ingrid Betancourt semble contredire diverses informations selon lesquelles la Franco-Colombienne serait séquestrée par les FARC en territoire vénézuélien afin d'empêcher sa libération par l'armée colombienne.Les analystes consultés par LatinReporters estiment qu'il ne s'agit pas nécessairement d'une contradiction. Des otages des FARC ont peut-être été et sont peut-être encore détenus au Venezuela. Mais leur libération, comme celle de Clara Rojas et Consuelo Gonzalez de Perdomo, ainsi que celle attendue de quatre anciens parlementaires, ne pourrait s'effectuer qu'en Colombie afin de ne pas compromettre trop clairement Hugo Chavez, qui a déjà clamé ses affinités idéologiques "bolivariennes" avec les FARC.Selon cette hypothèse et au vu des derniers événements, la localisation en Colombie d'otages importants de la guérilla peut préluder à leur retour à la liberté. Ingrid Betancourt aurait-elle bientôt cette chance après six ans de bagne "révolutionnaire"? Et si oui, quelle en serait la contrepartie? La réponse du président français Nicolas Sarkozy à cette dernière question pourrait être plus substantielle que la réponse d'Alvaro Uribe.

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