CARACAS (AFP) - Le président du Venezuela Hugo Chavez a indiqué vendredi soir s'être entretenu avec son homologue français Nicolas Sarkozy sur l'échange des otages en Colombie, et a confirmé la venue le 20 février du ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner.
"J'ai surtout discuté aujourd'hui (vendredi) avec le président français Nicolas Sarkozy de l'échange" entre 43 otages détenus par les Farc et 500 guérilleros emprisonnés en Colombie, a déclaré le président Chavez lors d'une émission sur la chaîne publique VTV.
"C'est avec un grand plaisir que nous allons recevoir le 20 février le ministre français" Bernard Kouchner pour parler de ce dossier", a-t-il poursuivi, expliquant que cette visite servira à "évaluer et envoyer plus de détails (à M. Sarkozy)" sur la libération unilatérale de trois ex-parlementaires capturés en 2001 annoncée début février par la guérilla marxiste.
Si cette libération se concrétise, elle sera la deuxième depuis la décision de président Alvaro Uribe de mettre un terme à la médiation de M. Chavez et de la sénatrice colombienne Piedad Cordoba pour un échange d'otages.
Le 10 janvier, M. Chavez avait reçu à Caracas Consuelo Gonzalez et Clara Rojas, libérées unilatéralement par les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), qui avaient expliqué qu'il s'agissait d'un geste vis-à-vis du président du Venezuela. Vendredi, M. Chavez a souligné par ailleurs que M. Sarkozy a réaffirmé lors de leur conversation la confiance portée aux actions du gouvernement vénézuélien pour parvenir à un échange d'otages, parmi lesquels l'ex-candidate à la présidentielle, la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, ainsi que trois Américains.
"J'ai surtout discuté aujourd'hui (vendredi) avec le président français Nicolas Sarkozy de l'échange" entre 43 otages détenus par les Farc et 500 guérilleros emprisonnés en Colombie, a déclaré le président Chavez lors d'une émission sur la chaîne publique VTV.
"C'est avec un grand plaisir que nous allons recevoir le 20 février le ministre français" Bernard Kouchner pour parler de ce dossier", a-t-il poursuivi, expliquant que cette visite servira à "évaluer et envoyer plus de détails (à M. Sarkozy)" sur la libération unilatérale de trois ex-parlementaires capturés en 2001 annoncée début février par la guérilla marxiste.
Si cette libération se concrétise, elle sera la deuxième depuis la décision de président Alvaro Uribe de mettre un terme à la médiation de M. Chavez et de la sénatrice colombienne Piedad Cordoba pour un échange d'otages.
Le 10 janvier, M. Chavez avait reçu à Caracas Consuelo Gonzalez et Clara Rojas, libérées unilatéralement par les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), qui avaient expliqué qu'il s'agissait d'un geste vis-à-vis du président du Venezuela. Vendredi, M. Chavez a souligné par ailleurs que M. Sarkozy a réaffirmé lors de leur conversation la confiance portée aux actions du gouvernement vénézuélien pour parvenir à un échange d'otages, parmi lesquels l'ex-candidate à la présidentielle, la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, ainsi que trois Américains.
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