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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

2 avril 2008

Sauvons Ingrid

L’otage franco-colombienne a entamé une grève de la fin et les derniers témoignages recueillis sont alarmistes. Ingrid est très malade et son état de santé extrêmement fragile. Il y a quelques semaines, la prisonnière a été conduite sous bonne escorte (200 à 300) guérilleros dans un hôpital à San José, chef-lieu du département de Guaviare. Après y avoir reçu des soins, les hommes en armes et Ingrid Betancourt sont repartis.

Le geste d'Uribe
Alvaro Uribe s’est dit être prêt à suspendre les opérations militaires dans le sud-est de la Colombie afin de rendre possible l'envoi d'une "mission humanitaire" française pour soigner l'otage franco-colombienne Ingrid Betancourt. "Le président Sarkozy m'a indiqué qu'une mission est en route pour s'occuper de la santé des otages, à commencer par celle de Mme Ingrid Betancourt, et a demandé au gouvernement colombien de donner les garanties pour que cette mission puisse atteindre l'endroit où se trouvent les otages et les assister", a déclaré mardi M. Uribe.
Des négociations toujours en cours
Ces dispositions ne rencontrent pas les revendications des Farc qui réclament en premier lieu l’échange de 500 guérilleros emprisonnés contre les 39 otages dits "politiques", dont Mme Betancourt. Des négociations sont en cours pour tenter de trouver des convergences entre Bogota et les Frac. Le Premier ministre François Fillon a confirmé mardi que la France était prête à accueillir des membres des Farc qui seraient libérés par Bogota en échange d'otages, dont Ingrid Betancourt, et qu'elle leur accorderait le statut de "réfugiés politiques". Ingrid Betancourt fait partie des 39 otages dits "politiques" que la guérilla des Farc, en lutte depuis 1964 contre les autorités colombiennes, veut échanger contre 500 guérilleros emprisonnés.
Le message de Sarkozy à Marulanda
La famille Betancourt et les comités veulent mobiliser "avant qu'il ne soit trop tard". Avant l’intervention d’Alvaro Uribe, le président Nicolas Sarkozy a demandé au chef de la guérilla de relâcher immédiatement Ingrid Betancourt "en danger de mort imminente". "Vous avez maintenant un rendez-vous avec l'histoire. Ne le manquez pas. Libérez Ingrid Betancourt et ceux des otages qui sont les plus affaiblis !", a lancé M. Sarkozy à Manuel Marulanda dans un message vidéo diffusé aux médias. Si l'otage franco-colombienne devait mourir, "ce serait une faute politique grave", "ce serait un crime" dont le chef de la guérilla marxiste serait tenu pour "responsable". Il souligne aussi que Paris "n'attend qu'un signal" pour organiser aussitôt le transfert et la prise en charge d'Ingrid.

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