BRDO PRI KRANJU (Slovénie), 28 mars 2008 (AFP)
Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner, espérant que les "mauvaises nouvelles" sur la santé d’Ingrid Betancourt étaient fausses, a appelé vendredi à "s’acharner" pour faire libérer l’otage de la guérilla colombienne des Farc.
L’offre du gouvernement colombien de faciliter la libération de guérilleros emprisonnés, si Ingrid Betancourt était relâchée par les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), est "très importante" et ce "n’est pas la dernière chance", a-t-il déclaré. "Nous allons voir. En ce moment, il y a un bruit de fonds et des rapports d’initiative qui sont convergents, donc il faut s’acharner, c’est essentiel car les nouvelles sur l’état de santé d’Ingrid Betancourt sont des mauvaises nouvelles", a-t-il continué lors d’une conférence de presse en marge d’une réunion avec ses homologues européens à Brdo pri Kranju (Slovénie). "Nous allons nous acharner jusqu’à la libération des otages", a encore martelé le ministre. L’inquiétude autour du sort d’Ingrid Betancourt a été relancée cette semaine par les déclarations d’un fonctionnaire colombien, selon qui l’otage souffre d’hépatite et se trouve dans un état de santé "très délicat". Un prêtre catholique a confirmé vendredi qu’elle avait été soignée dans un poste médical rural, entourée d’un "cordon de sécurité" formé par plus de 200 guérilleros, dans la région de Guaviare (sud-est). Ces nouvelles "sont-elles crédibles’ J’espère que non, j’espère qu’elles ne sont pas médicalement justes. J’espère que ça ne s’aggrave pas", a ajouté vendredi M. Kouchner. "Je ne sais pas si la maladie dont elle souffre est réelle, je ne sais pas si elle est épuisée comme on le dit, mais c’est une urgence humanitaire, une urgence humaine, et une urgence politique", a-t-il ajouté.
L’offre du gouvernement colombien de faciliter la libération de guérilleros emprisonnés, si Ingrid Betancourt était relâchée par les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), est "très importante" et ce "n’est pas la dernière chance", a-t-il déclaré. "Nous allons voir. En ce moment, il y a un bruit de fonds et des rapports d’initiative qui sont convergents, donc il faut s’acharner, c’est essentiel car les nouvelles sur l’état de santé d’Ingrid Betancourt sont des mauvaises nouvelles", a-t-il continué lors d’une conférence de presse en marge d’une réunion avec ses homologues européens à Brdo pri Kranju (Slovénie). "Nous allons nous acharner jusqu’à la libération des otages", a encore martelé le ministre. L’inquiétude autour du sort d’Ingrid Betancourt a été relancée cette semaine par les déclarations d’un fonctionnaire colombien, selon qui l’otage souffre d’hépatite et se trouve dans un état de santé "très délicat". Un prêtre catholique a confirmé vendredi qu’elle avait été soignée dans un poste médical rural, entourée d’un "cordon de sécurité" formé par plus de 200 guérilleros, dans la région de Guaviare (sud-est). Ces nouvelles "sont-elles crédibles’ J’espère que non, j’espère qu’elles ne sont pas médicalement justes. J’espère que ça ne s’aggrave pas", a ajouté vendredi M. Kouchner. "Je ne sais pas si la maladie dont elle souffre est réelle, je ne sais pas si elle est épuisée comme on le dit, mais c’est une urgence humanitaire, une urgence humaine, et une urgence politique", a-t-il ajouté.
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