Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a estimé lundi que la mort du numéro 2 des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC), Raul Reyes, constituait "une mauvaise nouvelle" pour la France et pour les otages, dont Ingrid Betancourt, et a appelé à "un geste" de la guérilla colombienne.
"C'est une mauvaise nouvelle, je le crains", a commenté Bernard Kouchner sur France Inter après l'opération anti-FARC menée samedi par l'armée colombienne en territoire équatorien. "Ce n'est pas une bonne nouvelle que le No2 Raul Reyes, l'homme avec qui nous parlions, avec qui nous avions des contacts, ait été tué."
"Cela nous doit faire redoubler d'efforts parce que, pour parler d'Ingrid Betancourt d'abord, c'est une urgence, un cri de désespoir, elle doit sortir", a plaidé le chef de la diplomatie française. "C'est une urgence médicale et humaine, ce n'est même plus d'un accord humanitaire dont nous avons besoin mais d'un geste de la part des FARC."
"Le problème pour nous c'est de sortir les otages, tous, tous tous, mais d'abord Ingrid", a martelé M. Kouchner. "Nous sommes tendus vers cela aussi bien à travers le Venezuela de M. Chavez, la Colombie de M. Uribe et l'Equateur de M. Correa", a-t-il expliqué, ajoutant que le président français Nicolas Sarkozy "est impliqué nuit et jour dans cette affaire"
"C'est une mauvaise nouvelle, je le crains", a commenté Bernard Kouchner sur France Inter après l'opération anti-FARC menée samedi par l'armée colombienne en territoire équatorien. "Ce n'est pas une bonne nouvelle que le No2 Raul Reyes, l'homme avec qui nous parlions, avec qui nous avions des contacts, ait été tué."
"Cela nous doit faire redoubler d'efforts parce que, pour parler d'Ingrid Betancourt d'abord, c'est une urgence, un cri de désespoir, elle doit sortir", a plaidé le chef de la diplomatie française. "C'est une urgence médicale et humaine, ce n'est même plus d'un accord humanitaire dont nous avons besoin mais d'un geste de la part des FARC."
"Le problème pour nous c'est de sortir les otages, tous, tous tous, mais d'abord Ingrid", a martelé M. Kouchner. "Nous sommes tendus vers cela aussi bien à travers le Venezuela de M. Chavez, la Colombie de M. Uribe et l'Equateur de M. Correa", a-t-il expliqué, ajoutant que le président français Nicolas Sarkozy "est impliqué nuit et jour dans cette affaire"
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