Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner a déclaré jeudi que son pays était résolu à obtenir la libération de tous les otages détenus en Colombie, et pas seulement de la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt qui a passé six ans en captivité.
M. Kouchner et le président colombien Alvaro Uribe se sont entretenus pendant une heure à Bogota sur la situation des centaines de personnes enlevées en Colombie, et le ministre français n'a écarté aucune médiation pour oeuvrer à leur libération. La veille, le chef de la diplomatie française avait évoqué le même sujet à Caracas avec le président vénézuélien Hugo Chavez.
Jeudi matin, M. Kouchner a rencontré dans la résidence de l'ambassadeur de France le mari d'Ingrid Betancourt et sa mère, Yolanda Pulecio. "Si Ingrid sort, ce qui j'espère arrivera bientôt, la France continuera à travailler pour tous (les otages) et je veux que les guérilleros le sachent", a-t-il affirmé.
Cette visite du chef de la diplomatie française intervient à quelques jours du sixième anniversaire de l'enlèvement d'Ingrid Betancourt, aujourd'hui âgée de 46 ans, qui est détenue depuis le 23 février 2002 par les FARC. AP
M. Kouchner et le président colombien Alvaro Uribe se sont entretenus pendant une heure à Bogota sur la situation des centaines de personnes enlevées en Colombie, et le ministre français n'a écarté aucune médiation pour oeuvrer à leur libération. La veille, le chef de la diplomatie française avait évoqué le même sujet à Caracas avec le président vénézuélien Hugo Chavez.
Jeudi matin, M. Kouchner a rencontré dans la résidence de l'ambassadeur de France le mari d'Ingrid Betancourt et sa mère, Yolanda Pulecio. "Si Ingrid sort, ce qui j'espère arrivera bientôt, la France continuera à travailler pour tous (les otages) et je veux que les guérilleros le sachent", a-t-il affirmé.
Cette visite du chef de la diplomatie française intervient à quelques jours du sixième anniversaire de l'enlèvement d'Ingrid Betancourt, aujourd'hui âgée de 46 ans, qui est détenue depuis le 23 février 2002 par les FARC. AP
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