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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

26 février 2008



Il y a 9 heures
CARACAS (AFP) — Le gouvernement vénézuélien a annoncé lundi savoir "avec précision où se trouvent les quatre otages" que la guérilla colombienne des Farc a proposé de libérer et a indiqué être prêt à les accueillir dès mercredi prochain.
Le président colombien Alvaro Uribe a affirmé lundi que son gouvernement "collaborera, comme il l'a toujours fait" pour faciliter la libération de quatre otages de la guerilla des Farc, qui pourrait avoir lieu mercredi.
"J'ai reçu un message très succint sur le lieu où ils se trouvent et certains détails" concernant ces otages, a indiqué le ministre vénézuélien de l'Intérieur Ramon Rodriguez Chacin, lors d'une rencontre avec la presse à la Chancellerie, sans toutefois donner de précisions sur leur état de santé.
Selon M. Chacin, il y a bon espoir que la libération des quatre otages puisse se faire "immédiatement". Et si cette libération était autorisée, "nous pourrions la faire mercredi. Nous avons la capacité de faire l'aller et retour dans l'après-midi". De son côté, le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Nicolas Maduro, a confirmé à la presse avoir eu un entretien avec son homologue colombien Fernando Araujo, durant lequel, il lui a confirmé que Caracas avait "reçu les éléments permettant le début de l'opération" de libération.
Désigné par le président Chavez pour coordonner les opérations de récupération des otages, le ministre de l'Intérieur a précisé avoir des rapports de services de renseignements signalant "d'importantes opérations militaires dans la zone où seraient éventuellement remis les otages". "Il y a des unités militaires opérant activement dans la zone, avec plus de 18.000 hommes", a-t-il dit. Toutefois, le chef de l'armée colombienne, le général Mario Montoya, a démenti lundi toute opération dans cette zone, en affirmant sa volonté de faciliter la remise des otages des Farc.
La Croix Rouge sera la "garante" de l'opération, pour laquelle le Venezuela bénéficie "d'une flexibilité et d'une logistique suffisante pour opérer à n'importe quel point de la frontière avec la Colombie", a assuré le ministre vénézuélien de l'Intérieur. Le 2 février dernier, les Farc ont proposé de remettre au président Chavez trois ex-parlementaires colombiens, Gloria Polanco, Orlando Beltran et Luis Eladio Perez, qu'il tiennent en otages depuis plus de six ans. Ils ont ensuite offert la libération d'un quatrième otage, l'ex-sénateur Jorge Gechem.
Ces 4 anciens parlementaires colombiens font partie du groupe de 43 otages dits "politiques", dont trois Américains et la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, que les Farc ont proposé de relâcher en échange de 500 guérilleros emprisonnés.
L'armée colombienne a de son côté affirmé mardi ignorer où se trouvent les camps de prisonniers de la guérilla marxiste des Farc, notamment celui où est détenue la Franco-colombienne Ingrid Betancourt.
"En ce moment nous ne sommes pas en mesure de localiser les autres otages", a déclaré à Radio Caracol (privée) le général Freddy Padilla, commandant des forces militaires, interrogé sur les lieux de détention d'Ingrid Betancourt et des autres otages

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