http://www.agirpouringrid.com/

Nouveau blog
http://agiravecingrid-aquitaine.blogspot.com/

Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

21 janvier 2008

Le président colombien Alvaro Uribe a défendu lundi devant son homologue français Nicolas Sarkozy ses propositions pour la libération des otages de la guérilla des Farc, dans une contre-offensive diplomatique face au président vénézuélien Hugo Chavez.
M. Uribe a entamé dimanche à Paris une tournée européenne qui le mènera en Espagne, en Suisse et à Bruxelles afin de souligner "les efforts" de son pays en faveur de la libération des otages, parmi lesquels la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, une priorité de M. Sarkozy.
Mais il a, dans le même temps, réaffirmé son objectif "d'écraser" la guérilla marxiste des Farc, juste avant d'être reçu à la présidence et deux mois après une visite de M. Chavez à Paris.
M. Uribe a notamment demandé l'appui de M. Sarkozy après avoir relancé une médiation de l'Eglise catholique avec la participation d'émissaires venant de France, d'Espagne et de Suisse.
Cette médiation vise à parvenir à un échange entre 43 otages dits "politiques", dont Ingrid Betancourt - ex-candidate à la présidentielle colombienne - et 500 guérilleros emprisonnés.
M. Sarkozy a apporté un soutien conditionnel à cette proposition, estimant qu'elle pouvait être "utile" si elle dispose de "garanties d'indépendance et de marges de discussion indispensables à son succès", a souligné la présidence.
Le président français a également "encouragé" Alvaro Uribe "à n'exclure aucun concours utile pour permettre en particulier la libération sans délai des otages", selon le porte-parole de l'Elysée David Martinon.
Hugo Chavez, qui vient d'arracher aux Farc la libération de deux otages, est considéré comme un acteur majeur par Paris pour aboutir à la libération de Mme Betancourt, détenue depuis près de six ans et récemment apparue à bout de forces.
M. Chavez accuse le président colombien, qui a mis fin en novembre à une médiation confiée à son homologue vénézuélien, de ne vouloir que "la guerre".
Les relations entre Caracas et Bogota traversent une grave crise après la décision de M. Chavez - qui qualifie M. Uribe de "pion des Américains" et de "lâche" - de reconnaître aux Farc le statut de belligérants et de demander à l'Union européenne de les rayer de la liste des organisations terroristes.
M. Sarkozy est resté prudent sur ce point. Il a répondu à M. Uribe "que la France demeurait solidaire des positions de l'Union européenne (...)". Pour Paris, les Farc doivent d'abord libérer leurs centaines d'otages avant tout changement d'attitude des Européens.
M. Uribe a qualifié de "très confiant, très sincère, très constructif" son entretien avec M. Sarkozy, le remerciant pour son soutien dans son combat "contre le terrorisme".
Partisan de la manière forte vis-à-vis de la guérilla, M. Uribe avait auparavant réaffirmé à la radio Europe 1 que sa priorité était de libérer les otages mais aussi "d'écraser les terroristes".
Le groupe des Farc "nous sommes en train de le vaincre (...) et il faut que la France le comprenne", a-t-il dit.
Il s'est toutefois dit prêt à négocier avec la guérilla si elle montre sa "bonne foi", ajoutant que jusqu'ici cela n'avait pas été le cas.
M. Uribe a défendu dimanche auprès du fils d'Ingrid Betancourt et de son père, Lorenzo et Fabrice Delloye, qu'il recevait pour la première fois depuis 2002, sa proposition de médiation de l'Eglise catholique.
"C'est la première fois que j'entends qu'il veut un dialogue mais je ne serai optimiste que lorsque les Farc auront accepté une zone de rencontre" pour instaurer un dialogue entre le chef de Farc Manuel Marulanda et M. Uribe, a expliqué à l'AFP Lorenzo Delloye.
Plus circonspecte, la Fédération internationale des Comités Ingrid Betancourt (Ficib) a estimé que M. Uribe était venu faire "une propagande anti-Farc en Europe".

Aucun commentaire: