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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

20 janvier 2008


Le président colombien Alvaro Uribe a entamé dimanche une tournée européenne en France, en Espagne et en Suisse, deux jours après avoir rétabli la médiation de ces trois pays pour obtenir la libération de 43 otages des Farc, dont la franco-colombienne Ingrid Betancourt.Selon la présidence française, M. Uribe qui se rendra également à Bruxelles, sera reçu lundi en fin de matinée à Paris par son homologue Nicolas Sarkozy qui a fait de la libération d'Ingrid Betancourt une priorité de son action diplomatique.M. Uribe devait recevoir dimanche en fin d'après-midi à l'ambassade de son pays à Paris un comité de soutien à Ingrid Betancourt, ex-candidate à la présidence colombienne, enlevée le 22 février 2002 avec sa directrice de campagne Clara Rojas. Mme Rojas a été libérée le 10 janvier par les Farc (Forces armées révolutionnaires colombiennes), première guérilla colombienne avec 17.000 hommes.L'ex-otage sera présente à Madrid mardi et mercredi lorsqu'y arrivera le président colombien. Elle doit assister au IVe congrès international des victimes du terrorisme, ont indiqué samedi plusieurs médias espagnols.Lorenzo Delloye-Betancourt, fils de l'otage, Fabrice Delloye, ex-mari et père des enfants d'Ingrid Betancourt, et Hervé Marro, porte-parole du Comité de soutien, composeront la délégation devant être reçue dimanche par M. Uribe.Le président colombien "arrive dans un pays où la mobilisation est extrêmement importante pour Ingrid Betancourt et les autres otages", a observé Hervé Marro dans une déclaration à l'AFP, avant de se rendre au rendez-vous.Le comité devait présenter à M. Uribe les termes d'un "compromis" qui lui semble "indispensable" pour parvenir à un "accord humanitaire" entre les Farc et le gouvernement de M. Uribe."Alvaro Uribe refuse de démilitariser une zone au nom de la sécurité de son peuple. Les Farc, eux, ont pour demande absolue de négocier sur le territoire de Pradera et Florida" (deux localités du sud-ouest de la Colombie), relève M. Marro."Nous leur proposons donc de négocier dans les zones rurales de Pradera et Florida, sans démilitariser la zone mais avec une force d'interposition internationale, qui garantirait la sécurité et la sérénité des deux parties comme du lieu", a-t-il ajouté.Le comité souhaite par ailleurs que M. Uribe évite de transformer sa tournée en opération de "diabolisation" des Farc que le président vénézuélien Hugo Chavez souhaite voir retirées de la liste internationale des organisations terroristes.Signe de ce soupçon, le président colombien, accusé par M. Chavez d'être "obsédé par une victoire militaire" sur les Farc, a critiqué samedi la position de l'organisation de défense des droits de l'Homme Amnesty International qui ne reconnaît pas la guérilla comme groupe terroriste.De son côté, la Fédération internationale des Comités Ingrid Betancourt (FICIB) a indiqué samedi avoir demandé à M. Sarkozy d'affirmer à M. Uribe l'opposition de Paris à toute opération militaire susceptible de mettre en danger la vie des otages ou constituant un obstacle à une éventuelle tentative de libération.Juste avant d'entreprendre sa tournée européenne, M. Uribe a annoncé samedi qu'il avait rétabli la médiation de la France, de l'Espagne et de la Suisse pour obtenir la libération de 43 otages de la guérilla des Farc, première guérilla du pays avec 17.000 hommes.

Selon le président colombien, cette décision vise à obtenir le soutien des trois pays européens au rôle de médiateur de l'Eglise catholique colombienne dans le cadre d'un échange entre 500 guérilleros prisonniers contre les 43 otages.La France, la Suisse et l'Espagne ont déjà participé à des initiatives conjointes pour un dialogue entre les Farc et le gouvernement de M. Uribe, en vue d'échanger des otages contre des guérilleros détenus.L'ex-otage colombienne Consuelo Gonzalez, libérée le 10 décembre en même temps que Clara Rojas, a souligné dimanche dans un entretien au journal espagnol El Pais que la libération des otages était devenue "une course conte la montre"."Le président (colombien, ndlr) s'est engagé à travailler intensément pour un accord humanitaire" déclare-t-elle au quotidien après s'être longuement entretenue avec Alvaro Uribe à l'issue de sa libération."Je lui ai dit que c'est une course contre la montre, contre la mort. La situation est tellement difficile que si nous ne faisons pas quelque-chose rapidement, ils (les otages, ndlr) pourront difficilement résister" indique encore Mme Gonzalez.

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