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Merci aux membres du comité Arnaud, Hervé, Camille ,Sophie, Fanny, Christophe, ma grande amie Laurence et Marion (et tous les autres membres d'Agir Pour Ingrid).

Un gros merci à mes collègues d'Arcachon.
Ma très patiente et sensible directrice Sabine, mes adorables collègues Audrey et Sandra et ma petite Soeur Christelle et à l'ensemble du personnel du SIBA ainsi qu'aux élus du Bassin d'Arcachon et de Gironde.

Et aussi merci de vous avoir croisé vos chemins (spirituellement) Fabrice, Mélanie et Lorenzo et mon plus profond respect à vous Ingrid Betancourt. Nous devons continuer, vivre c’est s’engager

Encore un grand merci pour Sabine, Christelle et laurence, sans ma "maman", ma "petite soeur" et ma "jumelle" je n'aurais pas pu faire cela, vous m'avez donner un équilibre et vous m'avez rattraper quand j'ai perdu le cap, sans vous je n'aurais pas pu me relever aussi rapidement, ce comité m'a permis de faire de très belle rencontre de voir de belle personne.

Dans chacune de vous je retrouve de la dignité, du courage et la determination, les valeurs d'une certaine personne...

Merci Sabine, j'attends tes récits...
Merci Christelle, je reçois ta gentillesse...
Merci Laurence, je t'attends...

bonne route à tous, ce fut un beau moment...

Mais nous avons un nouveau combat

29 janvier 2008

Encerclement des otages des Farc: Paris appelle Bogota à la retenue

PARIS (AFP) — La France a appelé lundi la Colombie à ne rien faire qui puisse mettre "en danger" la vie des otages, dont la Franco-colombienne Ingrid Betancourt, après la décision du président Alvaro Uribe d'encercler les zones où la guérilla des Farc les détient.
"La position de la France est constante et bien connue : rien ne doit être fait qui mettrait en danger la vie des otages", a déclaré à la presse le porte-parole adjoint du ministère des Affaires étrangères, Frédéric Desagneaux.
Le porte-parole s'est toutefois refusé à dire si pour la France la décision de M. Uribe d'ordonner la localisation et l'encerclement de ces zones mettait en danger la vie des otages, comme le craignent les familles des captifs.
Dimanche, Yolanda Pulecio, la mère d'Ingrid Betancourt, a accusé Alvaro Uribe de mettre en danger la vie des otages. Elle a dit craindre un épisode similaire à la mort en juin dernier de 11 anciens députés otages des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc).
Selon la guérilla, ils ont été tués dans une attaque déclenchée par un groupe militaire non identifié alors que le gouvernement affirme qu'ils ont été exécutés par les rebelles.
Paris rappelle régulièrement que l'usage de la force pour libérer les otages doit être absolument proscrit.
Les Farc ont proposé un échange dit "humanitaire" entre 43 otages, qu'elles considèrent comme "politiques", dont Ingrid Betancourt, et 500 guérilleros emprisonnés. Comme préalable, la plus importante guérilla colombienne exige la démilitarisation de 800 km2 autour des villes de Florida et Pradera, dans le sud.
M. Uribe a répété samedi son refus d'une telle condition dont il estime qu'elle mettrait en péril les habitants de ces localités et reviendrait à céder ce territoire aux Farc. Il a en revanche réitéré son appui à une offre de médiation de l'église catholique dans une zone neutre et rurale de 150 km2, en présence d'observateurs internationaux.
Ingrid Betancourt est aux mains des Farc depuis le 23 février 2002.

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